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mercredi 24 octobre 2012

Madame Valls et le Canard Enchaîné

Le problème, avec le Canard Enchaîné, c'est qu'il a très souvent raison et franchement, on se passerait bien de cette polémique...
Prudence, néanmoins...

Le journal soutient, après une enquête relayée par l'Express, que Manuel Valls aurait donné des consignes afin qu'on "nettoie" le quartier de Paris où le couple habite, suite à des inquiétudes de Anne Gravoin en voyant de nombreuses femmes mendiant avec leurs bébés...On aurait donc réactivé un arrêté de 2008 du préfet afin de chasser les sans-abri du coin.

Je relaye aussi pour deux raisons:

Si cela est faux, c'est inadmissible. Il est vrai que la personnalité de Madame Valls étonne. Mais ce serait encore une énième tentative de déstabiliser les membres du gouvernement à travers leur femme, ce qui serait minable. Est-ce que le Canard a cette habitude?
Qui aurait intérêt à créer une fausse rumeur?

Si cela est vrai, cela ne fait que rajouter des zones d'ombres à une personnalité, si curieuse, de premier plan politiquement parlant. Et cela donnerait un signal inquiétant
Car Valls alimente les fantasmes les plus dingues

J'aimerais donc qu'on fasse une enquête afin de savoir ce qu'il en retourne. Et que le people retourne au people, s'il s'agit de calomnies.
  

7 commentaires:

  1. Ca doit encore être une connerie.

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    1. Si c'en est une, il faudrait vraiment revenir à une déontologie dans le journalisme.

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    2. Je l'intègre dans le billet

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    3. On sait ce que valent les démentis des politiciens...

      Et ce sinistre de l'intérieur me fait peur : un de plus, dira-t-on.

      Attendons de voir si le Canard va maintenir sa version.

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  2. Anonyme10/24/2012

    Je ne vois pas où se situe le problème si c'est avéré :

    Article 225-12-6 du code pénal

    L'exploitation de la mendicité est punie de cinq ans d'emprisonnement et d'une amende de 75 000 Euros lorsqu'elle est commise :

    1º A l'égard d'un mineur ;
    Etc.

    Nous sommes en plein dedans, non ?

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    1. Il ne s'agit pas là de mendicité à l'égard d'un mineur, mais de mendicité de mamans. Où est le rapport ?

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