Le journal Le Monde publie un papier réservé aux abonnés au sujet d'une enquête(libre sur le web en promotion spéciale en ce moment) sur les résultats en Histoire des collégiens, qui descendent régulièrement depuis des années. Faut dire qu'on en est encore à un système qui n'a jamais été vraiment réformé, accumulant les liftings ratés depuis les années...ben, certains vous diront les années 70, d'autres insisteront sur la réforme sous De Gaulle, autant dire qu'au 21ème siècle, on est toujours dans une Education Nationale malade, en mal d'amour, qui est dans les pires systèmes éducatifs du monde au niveau résultat.
Je vais vous dire que ce n'est pas seulement la faute des enseignants. Ni celle des ministres. Il faudrait une volonté au niveau Présidentiel, je ne vois que ça, afin de faire bouger les choses.
Toujours est-il qu'on en demande toujours plus au niveau scientifique à nos têtes blondes, qu'ils ont un orthographe catastrophique depuis qu'on a adopté la méthode globale, qu'on n'encourage pas les enseignants à développer une pédagogie vivante et percutante, faut s'en tenir aux programmes...qui sont indigestes, comme le disent les enseignants eux-même.
L'histoire a vu son nombre d'heures enseignées par semaine diminuées de beaucoup au fil des ans. On fait toujours le même cycle qui va de l'Antiquité à maintenant du collège au lycée et du Lycée au Bac. On confond toujours dans la même matière la géographie, qui s'apparente plus à de l'économie, qu'on n'enseigne d'ailleurs pas au collège...géographie et histoire se partagent les heures, et on a ajouté l'éducation civique, au petit bonheur la chance...alors qu'on a une heure nouvelle qui s'appelle la vie scolaire, déconnectée de toutes les matières enseignées , d'ailleurs...
En fait,pour revenir à l'enquête, les bons élèves d'Histoire le sont par connaissance et culture personnelle, comme le dit l'enquête que relaie le Monde. Les bons élèves s'y intéressent d'eux-même ou sont initiés à l'Histoire par leurs parents...ce qui doit être sacrément dur pour les enseignants, ce genre de constats...l'enquête dit que les différences s'accentuent entre les collèges favorisés et les plus modestes. On ne s'en douterait pas...et le pire est , dans cette affaire, que les mômes aiment cette matière, en général!
Quel gâchis quand même!
Je vais vous dire que ce n'est pas seulement la faute des enseignants. Ni celle des ministres. Il faudrait une volonté au niveau Présidentiel, je ne vois que ça, afin de faire bouger les choses.
Toujours est-il qu'on en demande toujours plus au niveau scientifique à nos têtes blondes, qu'ils ont un orthographe catastrophique depuis qu'on a adopté la méthode globale, qu'on n'encourage pas les enseignants à développer une pédagogie vivante et percutante, faut s'en tenir aux programmes...qui sont indigestes, comme le disent les enseignants eux-même.
L'histoire a vu son nombre d'heures enseignées par semaine diminuées de beaucoup au fil des ans. On fait toujours le même cycle qui va de l'Antiquité à maintenant du collège au lycée et du Lycée au Bac. On confond toujours dans la même matière la géographie, qui s'apparente plus à de l'économie, qu'on n'enseigne d'ailleurs pas au collège...géographie et histoire se partagent les heures, et on a ajouté l'éducation civique, au petit bonheur la chance...alors qu'on a une heure nouvelle qui s'appelle la vie scolaire, déconnectée de toutes les matières enseignées , d'ailleurs...
En fait,pour revenir à l'enquête, les bons élèves d'Histoire le sont par connaissance et culture personnelle, comme le dit l'enquête que relaie le Monde. Les bons élèves s'y intéressent d'eux-même ou sont initiés à l'Histoire par leurs parents...ce qui doit être sacrément dur pour les enseignants, ce genre de constats...l'enquête dit que les différences s'accentuent entre les collèges favorisés et les plus modestes. On ne s'en douterait pas...et le pire est , dans cette affaire, que les mômes aiment cette matière, en général!
Quel gâchis quand même!
Ce que tu dis est vrais. Je vais te raconter une histoire véridique.Dans la grande entreprise ou je travaillais, un agent a fait une faute professionnel. Ses copains qui était du même poste, toujours lui balançaient des vannes, des blagues concernant la faute professionnel. Suite a cela cette agent s'est suicider. Ce que je veux dire tout n'est pas à dire et faire attention a ce que l'on dit.
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