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mardi 5 novembre 2013

Le manque de raison du moment

Je suis dans un état d'esprit classique en cette période, comme beaucoup d'entre nous : moins d'entrain, si, nous pouvions squatter le lit du matin au soir, nous le ferions. Un vague à l'âme qui, heureusement, chez moi, se soigne en y mettant un nom. J'ai toujours le spleen de l'automne, le blues du manque de soleil, de lumière. La raison étant là, mon vague à l'âme ne tient pas. C'est comme ça.

Dans la vie, si une chose ne va pas, il faut savoir quoi. Une fois identifié la raison du problème, on sait quoi faire contre et le combattre.
Dans le cas d'une légère déprime saisonnière, prendre un bon bain une fois rentré à la maison, écouter de la musique qui fait du bien à la tête, faire une bonne soupe de légumes, ranger sa maison de fond en comble, mettre des petites bougies qui parfument à la cannelle ou aux épices etc...

Alors pourquoi en politique, dès qu'un parti arrive au pouvoir, il n'arrive plus à trouver toutes les bonnes idées qui étaient dans son programme, faites pour de bonnes raisons, et qu'il nous en invente d'autres, dépourvues de toute logique, avec des priorités qui ne s'appuient sur aucune origine rationnelle ?

Faut qu'on m'explique.

2 commentaires:

  1. Bonjour mon amie,
    Oui chez moi et toi c déprime. C vrais le temps nous y aide pas !! M c tous les ans pareil. Ou il y a soleil les gens dépriment aussi.
    Au gouvernement il y a plusieurs facette pour la déprime: ne fonctionne pas comme ils veulent, pas d'entente, pas de résultat, les marchés, l'oppo qui mettent couche sur couche et pas lieux de mettre etc... etc... Bien sur le temps. La seule chose qui nous donnent du beaume aux coeur, c qu'ils y a des personnes, des gens, qui sont sur la même longueur d'ondes et qui ne varient pas d'un yota. ils faut s'écrire s'échanger, c en écrivant que l'on peut apprendre a se connaitre, Bien sur il y aura toujours une plusieurs personnes qui sont et seront contre nous et notre pensée, laisser faire et dire. Suis bavard Rosaelle, j f te dis bonne journée. Kiss

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  2. La politique, c'est comme l'électro-ménager : il y a le baratin du camelot, et puis il y a la confrontation avec ce *&#@!¤* machin et son mode d'emploi qui ne correspond pas au modèle. L'essentiel n'était-il pas de le vendre au gogo ?

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