Décidément Emmanuel Macron n'est guère l'ami des petites gens

Je rappelle, à tous, que l' illettrisme désigne des gens qui, bien, qu'ayant été à l'école, écrivent mal, comptent mal, maitrisent mal le français au point qu'ils ont du mal à conduire, par exemple, à remplir des papiers etc...et que traiter les ouvriers de GAD, enfin, les ouvrières, qui ne sont pas majoritaires, d'illettrées, c'est quand même assez maladroit voire même dégueulasse. Chacun choisira le terme qui conviendra.

Surtout que GAD souffre d'une baisse de la consommation du porc, viande mal aimée d'un point de vue sanitaire, entre autres, ce qui n'arrange pas mes affaires, entre nous, moi qui adore le poulet, si on ne mange plus de cochon, cela fait que ma viande favorite est devenue plus chère...Mangez du porc, s'il vous plait!
Voilà donc Montebourg qui manque quand même, avec ses phrases à la Chirac...
A la place, on a un technocrate qui ne veut pas admettre que les sanctions contre l'exportation en Russie fragilise notre industrie agro-alimentaire...
Bref...

Mais Macron semble être un jeune chien fou.
Il refuse qu'on touche aux professions libérales protégées, ces petits privilégiés aux lettres de cachet qui font douiller tout le monde, si j'étais mauvaise langue.... la pharmacie, pour les dettes (un huissier s'enrichit sur le dos des créanciers et des débiteurs, donc des pauvres), pour l'accès à la propriété...comme les notaires.
Oh, ils sont nécessaires, mais pas obligatoire. Un office des poursuites pourrait être créé, comme en Suisse, où c'est un fonctionnaire rémunéré comme tel et pas à la proportion de pauvres qu'il expulse (réalité hélas), on pourrait se passer du notaire en allant directement au Tribunal ou aux impôts valider les contrats de bien, et on pourrait laisser aux pharmaciens le droit de s'établir où ils veulent et d'être employés dans les supermarchés. D'ailleurs, si les docteurs en pharmacie pouvaient prescrire des médicaments, combien d'économies nous ferions?
Bref, que Macron ait la trouille des professions règlementées, c'est une chose, mais qu'y toucher nous fasse faire des économies, c'est un fait.


Bon, le gars débute, soyons donc indulgents, faut dire que nombre d'entre nous ne connaissons rien aux hautes sphères des banquiers d'affaire, n'est-ce pas, Très Cher? Cela doit être dur pour Macron de condescendre à discuter avec la plèbe, n'est-il pas? Oups, on a dit d'être indulgents...le Monsieur te dit...