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lundi 22 septembre 2014

Il y en a un qui se tape l'incruste

Je vais laisser quelqu'un d'autre vous expliquer mon ressenti face au déferlement médiatique sur le retour d'un type dont on s'est très bien passé avant, car c'est quand il était absent qu'on lui trouvait des qualités, à celui-là:

Se taper l'incruste, c'est bien sûr imposer sa présence à quelqu'un au-delà du raisonnable. Les gens qui s'incrustent manquent généralement de pudeur...et d'intuition.  Ils se trouvent chez eux partout. Et ils ne se rendent pas compte qu'ils gênent. Lorsqu'il ne s'agit que de vous les (1) gonfler par un séjour un peu trop prolongé, passe encore, mais il y en a qui sont des écornifleurs, des pique-assiettes, si vous préférez, des parasites, en quelque short, alors là, gaffe !
Une solution dans ce cas-là, dès que la menace écornifleuse se pointe, vous vous faites mettre (je veux dire  inscrire) aux abonnés absents. Et le tour est joué ! Pas vu, pas pris !
(1) à vous de voir de quelles structures gonflables portables vous disposez

Et billet réussi: à aucun moment, j'ai cité le nom de l'écornifleur politico-médiatique....

merci à Jacques Michaud pour sa définition tellement pertinente... 

2 commentaires:

  1. Bonjour mon amie et bon mardi a toi. Moi j f pas vu pas pris pas regardé. je suis bien armé dans ma tête pour ne pas changer de positionnement et de ne pas le suivre. Le calumet est allumé (pas de la paix) c 'est de la fumée qui n'est pas blanche, et le vent essaie de porter sa mauvaise parole. Avec du vieux tu ne fais pas du neuf, C du recuit.
    En 1968 les gens mettait pancarte aux fenêtres, regarder la Rue et éteignez la télé. C'est toujours d'actualité.

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