Demain, c'est ma vingtième fête des mères.
Ce billet n'est pas destiné à tous ceux qui se prennent pour d'autres.
Si vous êtes de ceux qui me critiquent, vous n'êtes pas conviés à le lire. De toutes manières je n'ai jamais compris comment on pouvait être obsédés au point de lire quelque chose qu'on dit détester même en trouvant cela drôle. Donc vous êtes gentiment conviés à foutre le camps de ce blog.
Les autres, les amis, lecteurs fidèles, vous pouvez rester.
Sa plus grande réussite, quoi qu'on en dise, ce sont ses enfants. Ce sera toujours eux. J'ai de la peine pour celles et ceux qui n' en ont pas. Pour ceux ou celles à qui la vie a refusé ce cadeau, certes parfois empoisonné, certes, par les peurs qu' ils nous occasionnent, les soucis, les tensions.
Je pense à tout cela, alors que demain je fêterai cette vingtième fête des mères.
Que de chemins parcouru, de ce bébé à ce presque homme qu'est mon fils...
Il est maintenant à construire sa vie, la mienne en est secondaire.
Puis il y a sa soeur aussi.
Deux cadeaux merveilleux qui méritent qu'on se batte pour eux.
Le reste est somme toute secondaire.
Les enfants, c'est merveilleux. Les petits-enfants, c'est le paradis.
RépondreSupprimerRosa elle j f te souhaite bonne fête et passe une merveilleuse journée, c le coté love.
RépondreSupprimerce soir le résultat sera peut être le coté sombre.
Ah ! Donc, je peux rester, lire et... commenter !
RépondreSupprimerBonne fête à la maman, bonne journée à la blogueuse... ;-)