Tout cet après-midi, la nouvelle a squatté Google News au sommet : Gilles Bernheim, le chef de la communauté juive a démissionné.
J'ai suivi de loin cette affaire, qui ne me parait pas être d'un intérêt national impératif.
Il a été pris la main dans le sac en plein plagiat pour une oeuvre qu'il avait fait paraître.
Il avait affirmé être agrégé de philosophie en toute mauvaise foi, puisqu'il n'a jamais eu ce diplôme.
Oui, c'est vrai que ce n'est guère honnête. Oui, c'est vrai que ce n'est pas cool, de piller les oeuvres des autres.
Mais franchement, je n'y connais rien en rabbinat, faut dire que la religion juive est complexe.
Est-ce vraiment nécessaire d'avoir un vrai diplôme de philosophie pour être un bon rabbin? Ok, je polémique. Après tout, je ne me sens pas vraiment concernée.
Je ne comprends donc pas du tout cette histoire : je pense que cela concerne la communauté juive, c'est un responsable religieux, pas un chef universitaire, en fait.
Ce qui est dommage, c'est que si cela se trouve, c'était un bon rabbin.
Je limite cette petite réflexion à la sphère française afin de voir ceci d'un point de vue neutre.
Donc, cette affaire a fait démissionner Gilles Bernheim. Après tout, c'est surtout le souci de la communauté qu'il dirigeait, je crois.
Alors pourquoi tous les journaux reprennent cette information comme si c'était un truc capital pour notre pays?
Vous avez dit laïcité?
Est-ce que le journalisme se limite au lynchage des personnalités qui auraient fauté?
Sinon, une jeune fille canadienne s'est suicidée, après un viol dont la photo avait fait le tour du lycée via le net. Son père demande de la dignité,il ne veut pas que la mémoire de sa fille se limite à une recherche sur Internet.
Cela n'a rien à voir, en apparence. Cela est sans doute bien plus important que le fait divers évoqué plus haut.
Mais si on considère les réseaux sociaux comme des médias, le fait qu'on confond de plus en plus certaines choses, comme la dénonciation, la transparence, le voyeurisme....
J'ai suivi de loin cette affaire, qui ne me parait pas être d'un intérêt national impératif.
Il a été pris la main dans le sac en plein plagiat pour une oeuvre qu'il avait fait paraître.
Il avait affirmé être agrégé de philosophie en toute mauvaise foi, puisqu'il n'a jamais eu ce diplôme.
Oui, c'est vrai que ce n'est guère honnête. Oui, c'est vrai que ce n'est pas cool, de piller les oeuvres des autres.
Mais franchement, je n'y connais rien en rabbinat, faut dire que la religion juive est complexe.
Est-ce vraiment nécessaire d'avoir un vrai diplôme de philosophie pour être un bon rabbin? Ok, je polémique. Après tout, je ne me sens pas vraiment concernée.
Je ne comprends donc pas du tout cette histoire : je pense que cela concerne la communauté juive, c'est un responsable religieux, pas un chef universitaire, en fait.
Ce qui est dommage, c'est que si cela se trouve, c'était un bon rabbin.
Je limite cette petite réflexion à la sphère française afin de voir ceci d'un point de vue neutre.
Donc, cette affaire a fait démissionner Gilles Bernheim. Après tout, c'est surtout le souci de la communauté qu'il dirigeait, je crois.
Alors pourquoi tous les journaux reprennent cette information comme si c'était un truc capital pour notre pays?
Vous avez dit laïcité?
Est-ce que le journalisme se limite au lynchage des personnalités qui auraient fauté?
Sinon, une jeune fille canadienne s'est suicidée, après un viol dont la photo avait fait le tour du lycée via le net. Son père demande de la dignité,il ne veut pas que la mémoire de sa fille se limite à une recherche sur Internet.
Cela n'a rien à voir, en apparence. Cela est sans doute bien plus important que le fait divers évoqué plus haut.
Mais si on considère les réseaux sociaux comme des médias, le fait qu'on confond de plus en plus certaines choses, comme la dénonciation, la transparence, le voyeurisme....
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