Faut dire que lorsque des médias dits sérieux titrent sur Hollande qui va au Vatican tandis que sa compagne se promène en Inde, on se dit franchement qu'on a touché le fond quand on voit la catastrophe qui se passe en ce moment à Davos pour l'avenir de notre pays.
On a beau ergoter, rêver, fantasmer, si une croissance économique va repartir en Europe et en France, un jour, elle ne pourra être que dépendante des échanges équitables avec les pays du monde entier, on ne peut plus vivre en isolement, en autarcie, ou même en se croyant encore un pays dominant et riche.
C'est le constat de la réunion de Davos de cette année. Désespérément, comme les Britanniques le font, on essaye de draguer les pays émergents qui peuvent drainer de la richesse en retour, comme l'engouement surprenant qui se constate avec Hassan Rohani et son pays, parias, il y a peu, pourtant.
Certes, on avait constaté le même intérêt pour Khadafi auparavant. Mais il y a fort à parier que, chat échaudé craignant l'eau froide, la Russie et la Chine ne laisseront jamais passer une guerre contre les Persans comme la Libye en a pris une dans la tronche.
En fait, on ne peut plus se permettre de rentrer en guerre contre un pays, pour de bonnes et mauvaises raisons afin de le piller et de relancer sa croissance en imposant des contrats avec les vaincus. Ce temps est bientôt révolu.
Si on veut profiter de la richesse d'un pays, il va falloir maintenant établir des échanges commerciaux équitables.
Nos "zélites" l'ont compris mais ne veulent surtout pas le dire à leur population de manière claire et surtout franche.
On titre donc de manière confidentielle sur un Davos qui reviendrait à ses fondamentaux, soit un lieu d'échanges et même de redistribution des richesses, le patron de Google pensant même qu'il va falloir redistribuer les profits financiers par le biais de taxes, ce que Hollande n'a pas réussi à faire.
D'ailleurs, à Davos, la politique de l'offre que Hollande veut promouvoir semble être une ineptie, on se base surtout sur la demande, et l'on ne croit pas du tout que la crise économique va se résoudre, dans les contextes d'austérité financière et de l'obsession du coût du travail qui traverse toute l'Europe...
Et on se demande où sont les Français...leur créativité, leur dynamisme, leur ouverture sur le Monde, leur optimisme.
Faut dire qu'à force de se regarder le nombril et de pleurer sur son sort en accusant les immigrés de tous les maux...
Oui, à Davos, l'éthnocentrisme européen, l'égocentrisme français passent mal , de plus en plus...
On a beau ergoter, rêver, fantasmer, si une croissance économique va repartir en Europe et en France, un jour, elle ne pourra être que dépendante des échanges équitables avec les pays du monde entier, on ne peut plus vivre en isolement, en autarcie, ou même en se croyant encore un pays dominant et riche.
C'est le constat de la réunion de Davos de cette année. Désespérément, comme les Britanniques le font, on essaye de draguer les pays émergents qui peuvent drainer de la richesse en retour, comme l'engouement surprenant qui se constate avec Hassan Rohani et son pays, parias, il y a peu, pourtant.
Certes, on avait constaté le même intérêt pour Khadafi auparavant. Mais il y a fort à parier que, chat échaudé craignant l'eau froide, la Russie et la Chine ne laisseront jamais passer une guerre contre les Persans comme la Libye en a pris une dans la tronche.
En fait, on ne peut plus se permettre de rentrer en guerre contre un pays, pour de bonnes et mauvaises raisons afin de le piller et de relancer sa croissance en imposant des contrats avec les vaincus. Ce temps est bientôt révolu.
Si on veut profiter de la richesse d'un pays, il va falloir maintenant établir des échanges commerciaux équitables.
Nos "zélites" l'ont compris mais ne veulent surtout pas le dire à leur population de manière claire et surtout franche.
On titre donc de manière confidentielle sur un Davos qui reviendrait à ses fondamentaux, soit un lieu d'échanges et même de redistribution des richesses, le patron de Google pensant même qu'il va falloir redistribuer les profits financiers par le biais de taxes, ce que Hollande n'a pas réussi à faire.
D'ailleurs, à Davos, la politique de l'offre que Hollande veut promouvoir semble être une ineptie, on se base surtout sur la demande, et l'on ne croit pas du tout que la crise économique va se résoudre, dans les contextes d'austérité financière et de l'obsession du coût du travail qui traverse toute l'Europe...
Et on se demande où sont les Français...leur créativité, leur dynamisme, leur ouverture sur le Monde, leur optimisme.
Faut dire qu'à force de se regarder le nombril et de pleurer sur son sort en accusant les immigrés de tous les maux...
Oui, à Davos, l'éthnocentrisme européen, l'égocentrisme français passent mal , de plus en plus...
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