L'enquête de 60 Millions de consommateurs confirme malheureusement ce que je redoutais depuis un moment: le coca est dangereux pour la santé et entraîne une addiction. Ben zut alors!
Par exemple, il y a de la cannelle et du baume du pérou, la caféine est énormément dosée, et en plus, si on le prend sans sucre, c'est un cocktail détonnant!
J'ai pas d'autres solutions que de devenir potomane, moi, l'eau y'a que ça de vrai...
Non, mais!
Ben, voilà, j'ai avoué mon addiction en public, faut bien faire mon coming out, comme je ne suis ni lesbienne, ni FN, faut bien trouver quelque chose!
Plus sérieusement, on oscille dans cette société entre la condamnation sans appel et les non-dits, à tel point qu'il devient difficile d'avoir une opinion qui n'est pas tranchée, qui n'est pas dans le politiquement correct du moment.
N'être pas tout à fait à gauche ni vraiment au centre, ni à droite.
On est scruté, épié, on guette le faux pas de l'autre, et si on a le malheur d'avoir l'ombre de la faute qui semble vous envelopper, on tape sans vergogne, sans réfléchir, sans nuancer, sans se poser des questions.
On vous reproche même jusqu'à votre façon d'écrire, ne voyant ni l'ironie ni le cynisme, ni même la vulgarisation des écrits, on se dépêche de poser un jugement sans se dire avant:" et si j'avais mal compris ou lu trop vite?"
"Et si je lui dénie le droit d'avoir ses propres idées, parce que les miennes me conviennent et qu'elles doivent donc forcément convenir à tout le monde?"
"Et si je faisais exactement ce que je reproche aux autres?"...
Collectivement, on en est tous responsables par manque de tolérance généralisée.
On peut me reprocher beaucoup de choses mais pas d'être moralisatrice.
Je n'ai pas de morale comme on l'entend, j'ai des principes humains.
Celui de respecter l'autre, peut-être trop.
Et je répète ce que j'ai dit en commentaire:
On peut mourir pour ne pas déroger à ses principes mais on peut tricher pour sa morale sans en mourir.
Après, vous faites ce que vous voulez de ce que je pense: vous en moquer, vous offusquer, l'oublier, aimer, c'est aussi ça la liberté.
Par exemple, il y a de la cannelle et du baume du pérou, la caféine est énormément dosée, et en plus, si on le prend sans sucre, c'est un cocktail détonnant!
J'ai pas d'autres solutions que de devenir potomane, moi, l'eau y'a que ça de vrai...
Non, mais!
Ben, voilà, j'ai avoué mon addiction en public, faut bien faire mon coming out, comme je ne suis ni lesbienne, ni FN, faut bien trouver quelque chose!
Plus sérieusement, on oscille dans cette société entre la condamnation sans appel et les non-dits, à tel point qu'il devient difficile d'avoir une opinion qui n'est pas tranchée, qui n'est pas dans le politiquement correct du moment.
N'être pas tout à fait à gauche ni vraiment au centre, ni à droite.
On est scruté, épié, on guette le faux pas de l'autre, et si on a le malheur d'avoir l'ombre de la faute qui semble vous envelopper, on tape sans vergogne, sans réfléchir, sans nuancer, sans se poser des questions.
On vous reproche même jusqu'à votre façon d'écrire, ne voyant ni l'ironie ni le cynisme, ni même la vulgarisation des écrits, on se dépêche de poser un jugement sans se dire avant:" et si j'avais mal compris ou lu trop vite?"
"Et si je lui dénie le droit d'avoir ses propres idées, parce que les miennes me conviennent et qu'elles doivent donc forcément convenir à tout le monde?"
"Et si je faisais exactement ce que je reproche aux autres?"...
Collectivement, on en est tous responsables par manque de tolérance généralisée.
On peut me reprocher beaucoup de choses mais pas d'être moralisatrice.
Je n'ai pas de morale comme on l'entend, j'ai des principes humains.
Celui de respecter l'autre, peut-être trop.
Et je répète ce que j'ai dit en commentaire:
On peut mourir pour ne pas déroger à ses principes mais on peut tricher pour sa morale sans en mourir.
Après, vous faites ce que vous voulez de ce que je pense: vous en moquer, vous offusquer, l'oublier, aimer, c'est aussi ça la liberté.
Pas bien d'être addict... ;)
RépondreSupprimervoui...
Supprimer"je ne suis ni lesbienne, ni FN, faut bien trouver quelque chose!" Quel parallèle, ! quelle opposition ds le choix des addictions possibles ...
RépondreSupprimer"Pas moralisatrice"... mouais , un gros brin tout de même
De l'humour, c'était de l'humour qui faisait référence au coming out, pas à l'addiction, ce faisant le parallèle en devenait absurde et collait bien à l'humour. h.u.m.o.u.r.
SupprimerDésolée si certains n'arrivent pas à comprendre l'ironie ou le cynisme.
Donnez-moi donc votre définition de moralisateur: ça m'intéresse et en quoi cela colle à ce que je suis. De manière argumentée, certains y arrivent bien.
Car jeter une affirmation sans la démontrer, c'est fatiguant et ce n'est pas de la discussion.