Le gouvernement fait sa rentrée cette semaine: fini le temps de la concertation? de la réflexion?
Il semblerait que les réformes sociales soient enfin à l'ordre du jour.
Tant mieux car l'actualité ne donne pas vraiment de répit en ce moment.
Fralib ne veut rien entendre au sujet de la concertation: l'objectif d'Unilever reste simple, se débarrasser d’Éléphant made in France pour encore plus de profit. Il va falloir réagir. Une solution toute simple existe pourtant: dans ce genre de situation, il suffit de confier l'entreprise à ses salariés et de tout faire pour les appuyer, puisqu'il y a une volonté manifeste de la part des propriétaires de couler la boite.
Pourtant, cette solution ne va pas à Fralib...
Et ce ne sont pas les dénégations du patron d'Unilever qui vont enlever ce fait.
La marque Éléphant: comme par hasard, ils ne veulent pas la céder. Bien sûr puisqu'ils veulent ouvrir une usine ailleurs et profiter de la notoriété de la marque. C'est classique dans les mécanismes économiques et c'est ce qui nuit à l'économie française.
Il me semble que ce serait encore plus efficace que l'interdiction des licenciements boursiers. Imposer cette solution partout où on peut. Point barre.
Le temps de la concertation a effectivement ses limites.
Un autre exemple: la rentrée universitaire qui atteint un coût exorbitant, à cause de l'augmentation des frais dus à l'inscription, et principalement du logement dont le coût a explosé.
Total: 73% des étudiants doivent travailler pour financer leurs études, ils étaient 48% il y a dix ans. Autant dire que nos universités dans ce contexte ne servent pas à grand chose.
Et que dire des droits universitaires qui sont censés ne pas exister dans le principe de la gratuité de l'enseignement supérieur?
Il y a donc effectivement urgence à installer l'allocation autonomie pour les jeunes.
Je rappelle que la Jeunesse est la priorité du Quinquennat, selon Hollande. Et que nombre d'étudiants ont voté pour ses propositions:
rappel ici
La rentrée et les mois qui vont suivre: c'est là que l'on pourra juger vraiment si on a fait le bon choix.
C'est la période de tous les dangers pour la majorité.
Un lien intéressant sur l'économie globale et les perspectives ici
Image issue de cet article
Il semblerait que les réformes sociales soient enfin à l'ordre du jour.
Tant mieux car l'actualité ne donne pas vraiment de répit en ce moment.
Fralib ne veut rien entendre au sujet de la concertation: l'objectif d'Unilever reste simple, se débarrasser d’Éléphant made in France pour encore plus de profit. Il va falloir réagir. Une solution toute simple existe pourtant: dans ce genre de situation, il suffit de confier l'entreprise à ses salariés et de tout faire pour les appuyer, puisqu'il y a une volonté manifeste de la part des propriétaires de couler la boite.
Pourtant, cette solution ne va pas à Fralib...
Et ce ne sont pas les dénégations du patron d'Unilever qui vont enlever ce fait.
La marque Éléphant: comme par hasard, ils ne veulent pas la céder. Bien sûr puisqu'ils veulent ouvrir une usine ailleurs et profiter de la notoriété de la marque. C'est classique dans les mécanismes économiques et c'est ce qui nuit à l'économie française.
Il me semble que ce serait encore plus efficace que l'interdiction des licenciements boursiers. Imposer cette solution partout où on peut. Point barre.
Le temps de la concertation a effectivement ses limites.
Un autre exemple: la rentrée universitaire qui atteint un coût exorbitant, à cause de l'augmentation des frais dus à l'inscription, et principalement du logement dont le coût a explosé.
Total: 73% des étudiants doivent travailler pour financer leurs études, ils étaient 48% il y a dix ans. Autant dire que nos universités dans ce contexte ne servent pas à grand chose.
Et que dire des droits universitaires qui sont censés ne pas exister dans le principe de la gratuité de l'enseignement supérieur?
Il y a donc effectivement urgence à installer l'allocation autonomie pour les jeunes.
Je rappelle que la Jeunesse est la priorité du Quinquennat, selon Hollande. Et que nombre d'étudiants ont voté pour ses propositions:
rappel ici
La rentrée et les mois qui vont suivre: c'est là que l'on pourra juger vraiment si on a fait le bon choix.
C'est la période de tous les dangers pour la majorité.
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