Je reviens sur le sujet qui a déchaîné une vague de critiques de la part de mes trolls, ce que je ne soupçonnais pas : le fait de condamner la pédophilie par tous les moyens , en visant toutes les propagandes possibles, y compris la littérature.
Au sujet des références: consulter l'article sur l'Obs du Moisi.
On m'accuse de bigoterie, on attaque ma sexualité directement, en premier lieu. Insinuant que je suis un censeur parce que je serais une vieille racornie envieuse....D'abord, qu'est-ce que ça vient faire là-dedans?Le fait que je baise ou pas, qu'est-ce que ça fiche dans une diatribe pour défendre un bouquin qui parle de la pédophilie aggravée par l'inceste? C'est quoi, ces attaques malsaines?
Pour simplifier, le livre dont je parlais de Jean Freustié n'est pas pornographique, il suggère une relation, il la matérialise en la rendant possible par le biais d'un livre, c'est en quoi il est dangereux et sordide. Il le serait beaucoup moins s'il y avait des détails graveleux. Ce livre n'est pas classé X, comme ceux de Bukowski, de Henry Miller, il n'y a aucune mise en garde, aucune bouée de secours pour le lecteur malsain. Miller et Bukowski ne légitiment rien dans leurs délires. Je n'ai rien contre ces auteurs: on connait la couleur de leurs provocations, le terrain de la subversion, du scandale, y est clairement fantasmatique, imaginaire, au contraire de Freustié qui fait de son récit quelque chose qui paraîtrait banal, normalisé et donc attirant pour un esprit dérangé.
Banaliser l'inceste, la pédophilie, jusqu'à rendre le passage à l'acte possible: voilà où est le danger.
J'ai reçu un commentaire qui m'indique clairement le manque de repères sur le sujet: ce dont parle Freustié serait de l'éphébophilie...
Qu'est-ce que c'est que ce truc?
Terme inventé par les anglo-saxons sur la base de la relation grecque athénienne du pédéraste(au sens antique) avec un éphèbe, un jeune garçon, cela est censé aussi banaliser la pédophilie: on désignerait ainsi l'attirance de certains adultes tournée uniquement sur les jeunes entre 15 à 17 ans, des "presque majeurs", donc.
Pour ceux qui ne connaitraient pas:
Les athéniens avaient mis sur pied un système qui permettait au jeune athénien non citoyen, donc pauvre, d'accéder à cette distinction. Un citoyen âgé, riche et sans enfants pouvait adopter l'éphèbe afin de lui donner instruction et lui transmettre son titre. En échange, il entretenait des relations sexuelles avec le jeune garçon.Cela, c'est la définition de la pédérastie antique, pas de l'homosexualité grecque. C'est ce qu'on appelle de la pédophilie institutionnalisée au sens moderne du terme.
Les pédophiles ont donc remis l'expression à leur sauce afin de justifier leurs tendances malsaines.
La jeune fille, le jeune garçon, devient donc attirant sexuellement dans une "pseudo-légalité". On fait fi de son histoire personnelle, de son stade de développement. Celle qui se fait jolie et un peu sexy pour des adolescents afin de vivre une histoire de fleurt, à l'eau de rose, si classique et gentille, devient pour l'éphébophile une proie, un objet sexuel dont il interprète des signaux clairement orientés sur lui.
On dénie à ces futurs adultes, à peine sortis de l'adolescence, leur innocence.
Dans un pays où la maturité de l'âge adulte est de plus en plus tardive, où les Tanguy sont légions, où l'indépendance matérielle s'acquiert de plus en plus tard, certains voudraient que la maturité sexuelle soit précoce pour excuser leurs déviances.
D'ailleurs, que dit la Loi?
Il n'y a pas le cas de l'éphébophilie qui serait exemptée de sanctions pénales en droit français. Je remets l'extrait qui explique les textes de droit pénal qui sanctionnent toutes les relations sexuelles avec des mineurs de plus de 15 ans, dès lors qu'il y a autorité sur le mineur, ce qui est le cas dans le livre de Freustié, devoir le répéter est un comble...
http://www.planetanim.com/modules/reglementation/textes/synthese_2_fiche_majorite.php
Les relations sexuelles avec un mineur de plus de quinze ans sont interdites si la personne qui agit a autorité sur la victime ou abuse de l'autorité que lui confèrent ses fonctions. C'est le cas par exemple si il s'agit d'un professeur ou d'un animateur de centres de vacances.
Les trois articles à connaître sur le sujet sont les articles 227-25, 227-26 et 227-27 du nouveau code pénal.
On parle là bien sur de relations sans violence ce qui exclut les relations avec violence (les viols) qui sont condamnés par d'autres articles du code pénal avec systématiquement des conditions aggravantes lorsqu'elles ont lieu sur des mineurs.
Je n'ai rien contre les relations sexuelles consenties entre mineurs de plus de 15 ans et adultes, si il n'y a pas d'abus d'autorité. Dans le cas de la justice, le Juge est seul à pouvoir exempter l'adulte de cet abus. Un ami de la famille peut être tout à fait dans le cas d'une autorité sur le mineur, quand bien même il aurait 21 ans et le mineur 15 ans et demi, s'il y a plainte de la part de la famille. Cela est fait dans le but de protéger le mineur des influences que le majeur pourrait exercer sur lui en abusant de son innocence.
Point barre.
Il n'y a aucune distinction entre pédophilie et éphébophilie dans le droit français.
Le droit américain fait de même, même si la notion existe dans cette société.
Ce qui m'amène à cette conclusion:
Comme me l'a dit un ami, la pédophilie est un crime contre l'innocence.
A ne pas regarder en face le fait qu'une adolescente n'envoie pas forcément de signaux sexuels à des pervers matures, à traiter le sujet de façon légère...à insulter ceux ou celles qui appellent un chat un chat, en leur supposant des envies de censures, leur prêtant des frustrations sexuelles*, comme on peut le voir sur l'article cité en premier...
On dénie à l'ado cette innocence et on continue à légitimer la prédation et on encourage le viol...sur des mineurs...puisque ce ne serait que de "l'éphébophilie"...
Comme le disait Coluche: "Le viol, c'est quand on ne veut pas. Moi je voulais la violer".
A méditer.
*à l'intention du Monsieur auteur de l'article qui me traite de bigote. Je n'ai aucune intention de m'épancher sur la façon de m'envoyer en l'air dans l'intimité, je comprends qu'il ne puisse pas l'accepter, lui qui a des poussées d'hormones dès qu'il voit Dati ou Belkacem, et qu'il s'en vante publiquement...Nous n'avons pas les mêmes valeurs, c'est clair...
Au sujet des références: consulter l'article sur l'Obs du Moisi.
On m'accuse de bigoterie, on attaque ma sexualité directement, en premier lieu. Insinuant que je suis un censeur parce que je serais une vieille racornie envieuse....D'abord, qu'est-ce que ça vient faire là-dedans?Le fait que je baise ou pas, qu'est-ce que ça fiche dans une diatribe pour défendre un bouquin qui parle de la pédophilie aggravée par l'inceste? C'est quoi, ces attaques malsaines?
Pour simplifier, le livre dont je parlais de Jean Freustié n'est pas pornographique, il suggère une relation, il la matérialise en la rendant possible par le biais d'un livre, c'est en quoi il est dangereux et sordide. Il le serait beaucoup moins s'il y avait des détails graveleux. Ce livre n'est pas classé X, comme ceux de Bukowski, de Henry Miller, il n'y a aucune mise en garde, aucune bouée de secours pour le lecteur malsain. Miller et Bukowski ne légitiment rien dans leurs délires. Je n'ai rien contre ces auteurs: on connait la couleur de leurs provocations, le terrain de la subversion, du scandale, y est clairement fantasmatique, imaginaire, au contraire de Freustié qui fait de son récit quelque chose qui paraîtrait banal, normalisé et donc attirant pour un esprit dérangé.
Banaliser l'inceste, la pédophilie, jusqu'à rendre le passage à l'acte possible: voilà où est le danger.
J'ai reçu un commentaire qui m'indique clairement le manque de repères sur le sujet: ce dont parle Freustié serait de l'éphébophilie...
Qu'est-ce que c'est que ce truc?
Terme inventé par les anglo-saxons sur la base de la relation grecque athénienne du pédéraste(au sens antique) avec un éphèbe, un jeune garçon, cela est censé aussi banaliser la pédophilie: on désignerait ainsi l'attirance de certains adultes tournée uniquement sur les jeunes entre 15 à 17 ans, des "presque majeurs", donc.
Pour ceux qui ne connaitraient pas:
Les athéniens avaient mis sur pied un système qui permettait au jeune athénien non citoyen, donc pauvre, d'accéder à cette distinction. Un citoyen âgé, riche et sans enfants pouvait adopter l'éphèbe afin de lui donner instruction et lui transmettre son titre. En échange, il entretenait des relations sexuelles avec le jeune garçon.Cela, c'est la définition de la pédérastie antique, pas de l'homosexualité grecque. C'est ce qu'on appelle de la pédophilie institutionnalisée au sens moderne du terme.
Les pédophiles ont donc remis l'expression à leur sauce afin de justifier leurs tendances malsaines.
La jeune fille, le jeune garçon, devient donc attirant sexuellement dans une "pseudo-légalité". On fait fi de son histoire personnelle, de son stade de développement. Celle qui se fait jolie et un peu sexy pour des adolescents afin de vivre une histoire de fleurt, à l'eau de rose, si classique et gentille, devient pour l'éphébophile une proie, un objet sexuel dont il interprète des signaux clairement orientés sur lui.
On dénie à ces futurs adultes, à peine sortis de l'adolescence, leur innocence.
Dans un pays où la maturité de l'âge adulte est de plus en plus tardive, où les Tanguy sont légions, où l'indépendance matérielle s'acquiert de plus en plus tard, certains voudraient que la maturité sexuelle soit précoce pour excuser leurs déviances.
D'ailleurs, que dit la Loi?
Il n'y a pas le cas de l'éphébophilie qui serait exemptée de sanctions pénales en droit français. Je remets l'extrait qui explique les textes de droit pénal qui sanctionnent toutes les relations sexuelles avec des mineurs de plus de 15 ans, dès lors qu'il y a autorité sur le mineur, ce qui est le cas dans le livre de Freustié, devoir le répéter est un comble...
http://www.planetanim.com/modules/reglementation/textes/synthese_2_fiche_majorite.php
Les relations sexuelles avec un mineur de plus de quinze ans sont interdites si la personne qui agit a autorité sur la victime ou abuse de l'autorité que lui confèrent ses fonctions. C'est le cas par exemple si il s'agit d'un professeur ou d'un animateur de centres de vacances.
Les trois articles à connaître sur le sujet sont les articles 227-25, 227-26 et 227-27 du nouveau code pénal.
On parle là bien sur de relations sans violence ce qui exclut les relations avec violence (les viols) qui sont condamnés par d'autres articles du code pénal avec systématiquement des conditions aggravantes lorsqu'elles ont lieu sur des mineurs.
Je n'ai rien contre les relations sexuelles consenties entre mineurs de plus de 15 ans et adultes, si il n'y a pas d'abus d'autorité. Dans le cas de la justice, le Juge est seul à pouvoir exempter l'adulte de cet abus. Un ami de la famille peut être tout à fait dans le cas d'une autorité sur le mineur, quand bien même il aurait 21 ans et le mineur 15 ans et demi, s'il y a plainte de la part de la famille. Cela est fait dans le but de protéger le mineur des influences que le majeur pourrait exercer sur lui en abusant de son innocence.
Point barre.
Il n'y a aucune distinction entre pédophilie et éphébophilie dans le droit français.
Le droit américain fait de même, même si la notion existe dans cette société.
Ce qui m'amène à cette conclusion:
Comme me l'a dit un ami, la pédophilie est un crime contre l'innocence.
A ne pas regarder en face le fait qu'une adolescente n'envoie pas forcément de signaux sexuels à des pervers matures, à traiter le sujet de façon légère...à insulter ceux ou celles qui appellent un chat un chat, en leur supposant des envies de censures, leur prêtant des frustrations sexuelles*, comme on peut le voir sur l'article cité en premier...
On dénie à l'ado cette innocence et on continue à légitimer la prédation et on encourage le viol...sur des mineurs...puisque ce ne serait que de "l'éphébophilie"...
Comme le disait Coluche: "Le viol, c'est quand on ne veut pas. Moi je voulais la violer".
A méditer.
*à l'intention du Monsieur auteur de l'article qui me traite de bigote. Je n'ai aucune intention de m'épancher sur la façon de m'envoyer en l'air dans l'intimité, je comprends qu'il ne puisse pas l'accepter, lui qui a des poussées d'hormones dès qu'il voit Dati ou Belkacem, et qu'il s'en vante publiquement...Nous n'avons pas les mêmes valeurs, c'est clair...
C'est très intéressant ce billet. Et ça me rappelle le débat que nous avions eu sur la censure... Sur la pédophilie en littérature par exemple, cela veut-il dire que tu penses qu'il faut condamner Houellebecq (la Possibilité d'une île, que je n'ai pas lue mais je me base sur ce que j'ai entendu par exemple) ou Lolita de Nabokov?
RépondreSupprimerhello, contrairement aux délires de Didier Goux, il n'est pas question de censure mais de voir clairement les choses: sur Freustié et Nabokov, ce sont des écrits pédophiles, cela doit être marqué comme tel.
SupprimerIl n'y a pas à parler d'art ou de littérature.
Pour Houellebecq, franchement, je n'en sais rien, ce type n'est pas dans mes écrivains fétiches, loin de là.Je ne l'ai pas lu, je ne peux pas te dire.
Tu vois, c'est comme le X: je m'en fiche royalement, tant que c'est marqué en gros, il y en a qui aiment, on va pas les en priver.
Après, c'est à la Justice de trancher si oui ou non...
Mais aimer ce genre de lecture en se cachant derrière la littérature, ça, non, il faut appeler un chat un chat.
Je vais te donner un exemple qui illustre mieux l'histoire. As-tu lu les 100 jours de Sodome? C'est de Sade et je défie quiconque de ne pas avoir la nausée en sortant du bouquin, car le sexe se mêle à des crimes tellement sordides..Seulement, ce livre est indissociable de la vie de Sade, qui a été très impliqué dans la Révolution, il a écrit cela lors de son emprisonnement le plus long, pour un viol qu'il n'avait pas commis. Ce livre a fait scandale mais c'était le but. Tout le monde sait ce qu'il en est. Les gens sont prévenus. Sade, c'est glauque, alors que le monsieur n'avait pas ce comportement du tout dans la vie. C'est un pamphlet, un brûlot. Mais on le sait.
A ce titre, comme les deux exemples dont je te parlais, ce ne sont pas les plus dangereux.
Si tu prends un autre exemple, dans la peinture, Balthus, c'est soit-disant de l'innocence, puisqu'il peint des très jeunes filles nues mais le regard est sale. Là, c'est de la pédophilie qui ne dit pas son nom. Là, c'est dangereux.
Je suis 100% d'accord avec ça!
SupprimerTiens tiens cela me rappelle tout ce qu'on m'a dit pour avoir pris position pour l'abolition de la prostitution : moche (sous entendu imbaisable), puritaine et j'en passe.
RépondreSupprimerDès que l'on s'oppose à du sexe imposé (c'est la cas de la prostitution) tu as tous les bitard(e)s (je ne dis pas "con" c'est une insulte aux femmes) qui confondent viol et libertinage, qui romantise l'inceste (comme Nabokov, en effet) et les bordels, qui appellent "liberté sexuelle" leur désir indépendamment du désir de l'autre (qui ne compte pas, on dirait) etc...
Les complices du viol sont partout.
N'oublions pas que très peu de gens portent plainte pour viol que ce soit sous forme d'inceste, de pédophilie ou autre. La société francaise (mais pas seulement) nie le viol.
J'ai toujours été très surprise des peines de prison infligées pour viol comparés à des peines pour vol.
SupprimerOui, il y a des questions à se poser dessus.
Une de mes amies sur Twitter parlait de ceux qui ne disent rien aussi, par exemple sur les mariages rituels imposés très tôt. Il n'y a pas que la société française qui nie ces situations, c'est clair.
Bonjour. Sauf quand même que les enfants de plus de 15 ans, par définition, ne peuvent être victime d'un pédophile. Qu'ils puissent être victimes d'adultes ayant autorité sur eux est une évidence par contre.
RépondreSupprimerAu niveau juridique, vous avez raison: la pédophilie n'est pas un terme adéquat de toute façon.
SupprimerJe vous donne exactement la définition de la victime: mineur(e).
Un procureur va parler de pédophilie,ainsi qu'un avocat des parties civiles, mais dans un réquisitoire ou un plaidoyer.
C'est comme escroquerie: ce terme n'est pas adéquat.
Comme meurtre et assassinat: il y a des différences.
Par contre, je ne comprend pas, ce n'est pas contre vous, pourquoi on se réfère tout le temps à Wikipédia...Il y a d'autres sources de références plus fiables, des travaux universitaires qui sont partagés sur le net, c'est plus difficile à trouver mais au moins cela fait marcher se méninges.
Wikipédia donnerait des diplômes quand on contribue, cela fait des contributeurs des thésards?
Wikipédia n'est qu'un ensemble de connaissances plus ou moins vérifiées sans aucune justification scientifique, surtout si cela empêche de réfléchir par soi-même en faisant du copié-collé. C'est très dangereux si on ne fait pas gaffe.
Pour moi, ainsi que d'autres, nous estimons que la maturité n'a jamais été une affaire d'âge biologique. J'ai démontré mon point de vue.
C'est pour cela qu'associer "enfant de plus de 15 ans", sans parler de pédophilie, me semble curieuse.
Après, vous êtes libres de penser cela, si vous ne cherchez pas à imposer votre vision, et qu'elle peut s'argumenter, et qu'elle n'excuse pas les abus, ce qui semble être le cas.
La maturité intellectuelle n'est pas un affaire d'age je suis d'accord. Que l'enfant soit affecté (sans doute à des degrés différents suivant sa maturité) par l'agression d'un adulte c'est évident. Du coté de l'adulte par contre il me semble que c'est la maturité sexuelle qui compte: la déviance n'est pas la même entre celui (celle) qui agresse un enfant pré-pubères et celui qui fait de même avec un(e) ado entre 15 et 18 ans.
SupprimerIl y a déviance.Il y a dégâts. Ce qui me dérange, c'est que certains légitiment celle-ci par "l'éphébophilie".
SupprimerUn homme qui se dit attiré juste par les grosses poitrines, ou les femmes fortes, cela existe, ce n'est pas un type qui se dit uniquement attiré uniquement pour les ados entre 14 et 17 ans.
Vous comprenez mieux mon point de vue?
Je comprend votre point de vue. Mais vous avez l'air de penser qu'un adulte attiré par un(e) ado de plus de 15 ans est un malade... Ce n'est pas ce que disent les textes de loi que vous citez qui autorisent des rapports(s'il n'y a pas d'agression) si l'adulte n'a pas autorité sur l'ado.
SupprimerSerait-il possible de relire mon post?
SupprimerJe dis exactement le contraire.
"Je n'ai rien contre les relations sexuelles consenties entre mineurs de plus de 15 ans et adultes, si il n'y a pas d'abus d'autorité. "
OK mais dans votre commentaire vous dites "C'est pour cela qu'associer "enfant de plus de 15 ans", sans parler de pédophilie, me semble curieuse." J'en conclu, peut-être un peu vite, que vous voyez une certaine déviance dans ce genre de rapport...
SupprimerPatrick,
SupprimerVous confondez il me semble l'attirance d'un majeur pour "une" jeune fille de 15 ans et l'attirance pour "les" jeunes filles, entre 15 et 18 ans. La première est liée aux circonstances et ne représente pas nécessairement un danger, au contraire de la seconde. Non ?
Pourriez vous au moins reconnaître que cette attirance spécifique est dangereuse pour les jeunes filles ?
Votre façon d'appeler ça "ce genre de rapport" me gêne un peu, c'est ce qui me fait réagir.
isabelle
Sur le fond de l'affaire, je n'ai pas lu donc je n'ai pas d'avis. Tout ce que je sais c'est que je déteste qu'on touche à plus faible que soit, quel que soit l'âge.
RépondreSupprimerPar contre, ce qui est sûr, c'est que vous ne savez pas lire. Didier Goux explique que pour lui une bigote, ou un bigot, c'est quelqu'un qui est dans la bien-pensance d'une époque. Si l'époque était aux partouzes, un bigot serait un partouzard. Si l'époque est à l'antisémitisme, le bigot est nazi, etc. Dans son post, vous êtes "traitée" de bien-pensante il n'y a aucune espèce d'allusion à votre vie privée !
Relisez bien tout, alors.
SupprimerIl me semble qu'il y a assez d'éléments pour que j'en tire cette analyse.
Pourtant, si l'époque est à l'islamophobie et aux atteintes aux droits de l'homme, je n'ai pas vu votre chevalier blanc.
Un peu beaucoup hypocrite, votre défense du sieur.