Ces années-là, on écoutait des musiques qui montraient du sexe, mais pas seulement hétérosexuel, Mylène Farmer disait que l'infirmière pleure:
Et qu'elle est un garçon, sans contrefaçons:
Queen voulait être libre en jupe et moustache:
Frankie goes to Hollywood vous emmenait en partouze dans une boite homo : gays, c'était pas encore le mot préféré.
Pet Shop Boys voyait l'avenir en grand, rempli de mecs virils:
Jimmy Sommerville assumait sa voix:
et Boy Georges son look:
L'amour était juste teinté différemment:
Et maintenant?
On est rempli de vieux cons qui ont oublié un jour qu'ils trouvaient toutes ces musiques chouettes, et qu'on commençait à s'habituer au fait que d'autres n'avaient pas les mêmes plaisirs que nous, en sexe et on aimait bien leur musique, pourtant, on dansait dessus sans ambiguité, ou rejet.
Le vent de liberté des années 80, on le cherche, faut dire qu'on sent plus l'odeur plus rance et le capharnaüm des idées réacs, et racistes, assumées par les uns et refoulées par les autres, derrière de faux discours progressistes et condescendants.
Même les lesbiennes et les gays peuvent être racistes, maintenant.
Les vieux cons ont le vent en poupe.
Reste la nostalgie de ces musiques qu'on aimait bien sans être homos, des musiques du vivre ensemble...
Et qu'elle est un garçon, sans contrefaçons:
Queen voulait être libre en jupe et moustache:
Frankie goes to Hollywood vous emmenait en partouze dans une boite homo : gays, c'était pas encore le mot préféré.
Pet Shop Boys voyait l'avenir en grand, rempli de mecs virils:
Jimmy Sommerville assumait sa voix:
et Boy Georges son look:
Et maintenant?
On est rempli de vieux cons qui ont oublié un jour qu'ils trouvaient toutes ces musiques chouettes, et qu'on commençait à s'habituer au fait que d'autres n'avaient pas les mêmes plaisirs que nous, en sexe et on aimait bien leur musique, pourtant, on dansait dessus sans ambiguité, ou rejet.
Le vent de liberté des années 80, on le cherche, faut dire qu'on sent plus l'odeur plus rance et le capharnaüm des idées réacs, et racistes, assumées par les uns et refoulées par les autres, derrière de faux discours progressistes et condescendants.
Même les lesbiennes et les gays peuvent être racistes, maintenant.
Les vieux cons ont le vent en poupe.
Reste la nostalgie de ces musiques qu'on aimait bien sans être homos, des musiques du vivre ensemble...
« Même les lesbiennes et les gays peuvent être racistes, maintenant. »
RépondreSupprimerPlaignez-vous : ça prouve bien qu'ils sont comme tout le monde !
À part ça, je vous plains, moi, si vraiment vous avez écouté toutes ces daubes.
On ne peut pas parler de daube sur Queen, quand même mais vous étiez déjà un vieux dans les années 80. On vous excusera pour cela, les croûlants sont hors catégorie.
SupprimerBelle sélection
RépondreSupprimerMerci! Cela fait du bien, de se replonger dans cet univers musical de temps en temps et de se rappeler qui on était en ce moment-là.
Supprimerje suis une vieille conne des année 80 qui aime toujours Queen et Jimmy Sommerville , je ne suis pas réac encore moins raciste,d'ailleurs il n'y a pas que des vieux dans les manifs de ces derniers jours ,loin s'en faut
RépondreSupprimercordialement
FM