Quand certains veulent nous faire croire que ce sont des victimes alors que ce sont les bourreaux.
La raison du plus fort est toujours la meilleure :
Nous l'allons montrer tout à l'heure.
Un réfugié se reposait
Dans le courant d'une journée dure.
Un identitaire survient à cran qui cherchait aventure,
Et que la misère en ces lieux attirait.
Qui te rend si hardi de troubler mon voisinage ?
Dit cet animal plein de rage :
Tu seras châtié de ta témérité.
- Sire, répond le réfugié, que votre Majesté
Ne se mette pas en colère ;
Mais plutôt qu'elle considère
Que je me vais transitant
Dans le courant,
et que je cherche à m'éloigner d'Elle,
Et que par conséquent, en aucune façon,
Je ne puis troubler sa maison.
- Tu la troubles, reprit cette bête cruelle,
Et je sais que de moi tu médis l'an passé.
- Comment l'aurais-je fait si je n'y étais?
Reprit le réfugié, j'étais encore en mer.
- Si ce n'est toi, c'est donc ton frère.
- Je n'en ai plus. - C'est donc quelqu'un des tiens :
Car vous ne m'épargnez guère,
Vous, vos associations , et vos bohémiens
On me l'a dit : il faut que je vous repousse.
Là-dessus, au fond de Calais
L'identitaire le saisit et le bat avec secousse ,
Sans autre forme de procès.
La raison du plus fort est toujours la meilleure :
Nous l'allons montrer tout à l'heure.
Un réfugié se reposait
Dans le courant d'une journée dure.
Un identitaire survient à cran qui cherchait aventure,
Et que la misère en ces lieux attirait.
Qui te rend si hardi de troubler mon voisinage ?
Dit cet animal plein de rage :
Tu seras châtié de ta témérité.
- Sire, répond le réfugié, que votre Majesté
Ne se mette pas en colère ;
Mais plutôt qu'elle considère
Que je me vais transitant
Dans le courant,
et que je cherche à m'éloigner d'Elle,
Et que par conséquent, en aucune façon,
Je ne puis troubler sa maison.
- Tu la troubles, reprit cette bête cruelle,
Et je sais que de moi tu médis l'an passé.
- Comment l'aurais-je fait si je n'y étais?
Reprit le réfugié, j'étais encore en mer.
- Si ce n'est toi, c'est donc ton frère.
- Je n'en ai plus. - C'est donc quelqu'un des tiens :
Car vous ne m'épargnez guère,
Vous, vos associations , et vos bohémiens
On me l'a dit : il faut que je vous repousse.
Là-dessus, au fond de Calais
L'identitaire le saisit et le bat avec secousse ,
Sans autre forme de procès.
Une fable qui devient réalité...
RépondreSupprimer"Le pouvoir non élu ",nous envoi ces gens pour se faire une armée de mercenaires prêt a se vendre pour quelques tunes de bois .
RépondreSupprimerIl la veut sa guerre pour construire sa nouvelle dictature .Il pourra ainsi voler comme a son habitude les richesses des peuples assassinés .
Il ne veut surtout pas que les peuples puissent être armés ,car, il pourrait se défendre au lieux d'être terrorisé et soumis .
Pourquoi devons obéir a ces assassins ?