Angela Merkel l'avait sous-estimé, snobé. Puis elle a commencé un peu à comprendre....
Le syndrôme du Flanby Bisounours avait encore frappé...
C'est fou comme on a sous-estimé François Hollande: en avril, on était très peu à croire en cet homme qu'on disait effacé, isolé et peu dynamique...à tort...
Mais Angela a commencé à reculer: le discours de la nécessaire croissance du candidat socialiste n'était pas tombé dans l'oreille de sourds...Partout, on commençait à sérieusement à songer à la croissance...
Mais le soir du 15 Mai 2012, elle pense encore faire taire toute opposition à son plan de rigueur budgétaire, bien qu'elle se soit pris un sérieux revers électoral Dimanche.
François Hollande n'a rien lâché...Elle a plié, tout sourire, admettant la nécessaire discussion autour des solutions de croissance.
Hollande s'est même payé le luxe de soutenir directement le peuple grec, en expliquant qu'on ne peut exiger le paiement de la dette grecque sans leur proposer un choix de vie décent.
Eh, oui, l'Europe est là pour ça aussi...
Quand Hollande dit NON, on a beau s'appeler Angela Merkel, on sourit et on recule, avec grâce...
Et maintenant, on attend avec impatience Cameron et ses désidératas, car Monti, en bon italien, ne soutient plus son camarade, mais veut de la croissance, comme Obama d'ailleurs.
Je parie qu'Obama va se mettre à adorer Hollande...
Un Bisounours, on vous disait...
Le syndrôme du Flanby Bisounours avait encore frappé...
C'est fou comme on a sous-estimé François Hollande: en avril, on était très peu à croire en cet homme qu'on disait effacé, isolé et peu dynamique...à tort...
Mais Angela a commencé à reculer: le discours de la nécessaire croissance du candidat socialiste n'était pas tombé dans l'oreille de sourds...Partout, on commençait à sérieusement à songer à la croissance...
Mais le soir du 15 Mai 2012, elle pense encore faire taire toute opposition à son plan de rigueur budgétaire, bien qu'elle se soit pris un sérieux revers électoral Dimanche.
François Hollande n'a rien lâché...Elle a plié, tout sourire, admettant la nécessaire discussion autour des solutions de croissance.
Hollande s'est même payé le luxe de soutenir directement le peuple grec, en expliquant qu'on ne peut exiger le paiement de la dette grecque sans leur proposer un choix de vie décent.
Eh, oui, l'Europe est là pour ça aussi...
Quand Hollande dit NON, on a beau s'appeler Angela Merkel, on sourit et on recule, avec grâce...
Et maintenant, on attend avec impatience Cameron et ses désidératas, car Monti, en bon italien, ne soutient plus son camarade, mais veut de la croissance, comme Obama d'ailleurs.
Je parie qu'Obama va se mettre à adorer Hollande...
Un Bisounours, on vous disait...
Il me font bien rire, tous, avec leur "croissance", il n'ont plus que ce mot à la bouche.
RépondreSupprimerMais c'est l'a-ccroissance qu'il faut,c'est un changement fondamental de société qu'il nous faut pour laisser une chance, une petite chance aux générations qui nous suivent, bien que, personnellement, je pense qu'il est déjà trop tard.
A croire que la plupart de mes concitoyens ne pensent qu'à leurs vacances, leur écran plat, leur I-Prout,... et, vu la consommation record d'antidépresseurs dans nos riantes contrées, ça ne me semble pas rendre les gens plus heureux d'Avoir plutôt que d'Etre !
Continuons donc à danser sur le volcan.
Bonsoir, Anne-Marie,
SupprimerDonc il faudrait expliquer ce point de vue avec des arguments qui soient assez convaincants.
Suis ouverte à toute discussion:)
Mais moi je pense qu'une vraie croissance ne peut être que différente de ce qu'on a connu.
Amicalement
Si j'ai compris ce que dit Anne-marie, "la croissance" est forcément basée sur la consomation. La consomation à outrance nous a mené là où nous en sommes, tant d'un point de vue environementale que sociétal. Donc prônner la croissance à tout craint c'est continuer de se lover dans la société de consomation qui est la notre ce qui ne nous rend pas forcément heureux. Si l'on part du postulat que l'idée c'est d'être heureux , la croissance est une fausse solution. Par ailleurs il ne s'agit pas non plus de prôner "l'austérité " chère à la droite mais bel et bien de changer radicalement la société telle que nous la vivons aujourd'hui.
RépondreSupprimerEt je suis assez d'accord avec çà ...hélas car je constate qu'on en est loin , très loin ...
Oui, pour changer notre façon de vivre, mais non, pour confondre consommation de masse et croissance.
SupprimerCe serait une bonne chose, car la croissance, ce n'est pas la consommation de masse.
Un exemple: le recyclage ne veut pas dire jeter au bout d'un mois un objet et l'envoyer via des sociétés soit disant spécialisées dans des pays du Tiers Monde:)
C'est aussi acheter d'occasion mais pour cela, il faut une volonté de favoriser ça: ça fait moins de déchet et ça emploie des gens qui réparent et remettent comme neuf les objets qu'on aurait envoyé dans des dépotoirs au tier-monde
Bisous, chère Noum
rien à voir mais je me relis et je vois toute mes fautes et je suis désolée...
RépondreSupprimerPas si important: je préfère avoir affaire à un esprit clair qui fait des fautes de français, qu'un esprit embrouillé qui croit parler un bon français et qui fait d'autres fautes...
Supprimercertes,on peu acheter d'occasion,on peu tenter de consommer intelligement, mais même dans ton exemple il s'agit de consommer
RépondreSupprimermais la réalité de la consommation telle qu'elle se pratique le plus dans les pays dévellopés est loin de ton exemple. Je pense au concept d'obsolécence programmée entre autres, qui ramène bien la consomation de masse à l'achat la consomation et rejet du déchet pour racheter un modèle plus récent.
Par ailleurs je ne confonds pas croissance et consomation , je dis qu'elle sont intrinsèquement liées et que si notre bonheur doit être soumis à la croissance il le sera forcément aussi au fait de consommer ou de posséder.