Dans les années 60, des femmes se mirent en scène dans la rue : des femmes ordinaires et simples, des femmes belles et moins belles se déshabillèrent afin de montrer qu'on emprisonnait et brimait leur corps, derrière la pudeur des soutiens-gorges en baleine qui faisaient mal, on leur interdisait de montrer leur torse, et de montrer que leur buste n'était pas un simple attribut sexuel.
Ces femmes brulèrent leurs soutien-gorges et cette image fit le tour du monde.
C'était en droite ligne du refus de la place de la jolie image de femme soumise, incapable de prendre soin de son corps comme elle en avait envie.
C'était légitime, seulement, la lingerie en prit un coup.
La lingerie : je ne crois pas qu'on choisit ses dessous en fonction de l'autre, je pense qu'on aime ces sous-vêtements simplement par pur coquetterie, toujours est-il qu'on assista les années suivantes à une vraie omerta sur ces accessoires de mode et sur le plaisir qu'on pouvait avoir à les porter. Tout était classique, le porte-jarretelle et les guépières étaient reléguées aux oubliettes et déléguées aux femmes les plus vulgaires.
Et puis Chantal Thomass est arrivée.
Oh, elle a été décriée et vilipendée, critiquée, oui.
Mais elle a redonné aux femmes l'option de porter un porte-jarretelle sans passer pour une prostituée, elle a redonné aux femmes le choix dans leur lingerie, de ne rien porter ou de porter des ensembles sophistiqués.
C'est cela aussi, la liberté des femmes.
J'ai parlé de Coco Chanel dans l'article précédent et il me semblait utile aussi d'associer cette dame à cette journée, même si on ne pense pas spécialement à ce genre de femmes mais on a tort, je crois.
La liberté et le droit de toute femme, c'est de faire ce dont elle a envie aussi, même si pour cela, on la peut la critiquer, d'un sens ou dans l'autre.
Il ne faudrait pas non plus l'oublier.
Ces femmes brulèrent leurs soutien-gorges et cette image fit le tour du monde.
C'était en droite ligne du refus de la place de la jolie image de femme soumise, incapable de prendre soin de son corps comme elle en avait envie.
C'était légitime, seulement, la lingerie en prit un coup.
La lingerie : je ne crois pas qu'on choisit ses dessous en fonction de l'autre, je pense qu'on aime ces sous-vêtements simplement par pur coquetterie, toujours est-il qu'on assista les années suivantes à une vraie omerta sur ces accessoires de mode et sur le plaisir qu'on pouvait avoir à les porter. Tout était classique, le porte-jarretelle et les guépières étaient reléguées aux oubliettes et déléguées aux femmes les plus vulgaires.
Et puis Chantal Thomass est arrivée.
Oh, elle a été décriée et vilipendée, critiquée, oui.
Mais elle a redonné aux femmes l'option de porter un porte-jarretelle sans passer pour une prostituée, elle a redonné aux femmes le choix dans leur lingerie, de ne rien porter ou de porter des ensembles sophistiqués.
C'est cela aussi, la liberté des femmes.
J'ai parlé de Coco Chanel dans l'article précédent et il me semblait utile aussi d'associer cette dame à cette journée, même si on ne pense pas spécialement à ce genre de femmes mais on a tort, je crois.
La liberté et le droit de toute femme, c'est de faire ce dont elle a envie aussi, même si pour cela, on la peut la critiquer, d'un sens ou dans l'autre.
Il ne faudrait pas non plus l'oublier.
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