Voir l' actualité de Closer sur mon lecteur de flux m'emmerde.
Leurs magouilles, ça va à doses homéopathiques,là, c'est le journalisme du Water Closer, le journalisme de la merde.
Pendant ce temps, mes collègues de blog essaient de parler de choses sérieuses: allez voir ma blogroll.
Sinon, j' essaie les cigarettes électroniques, ça n'a rien à voir avec l' actualité politique...
Sinon, encore rien à voir, il fait gris chez moi, la fenêtre de mon bureau donne sur un ciel ardoise.
Diversion...
Suis pas d' humeur, si je repense à Closer, je vois rouge, mon Vendredi Rouge.
Pas d'appel au djihad ou d'hommage aux terroristes de la part du sportif
franco-tchétchène
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Trouvé sur "les patriotes en colère", une de ces innombrables pages clones
des autres de la fachosphère, une affaire qui agite le microcosme faf...
Tempête...
Il y a 8 ans
Ce n'est pas Closer qui vous met dans cet état, ne soyez pas injuste : ce sont les cigarettes en chocolat…
RépondreSupprimerPas en chocolat, j'ai pas testé ce parfum, mais ça marche : seulement 5 cigarettes par jours depuis 2 jours et non, j'aurais préféré que ce soit le manque de vraies clopes goudronnées...
SupprimerJe préfère les choses positives.
RépondreSupprimerSinon, c'est chiant l'hiver!!!!
Les jours rallongent!
SupprimerCela, c'est positif!
Moi j'aime bien Closer... On apprend beaucoup de choses positives sur la vie des huîtres... Et sur le fromage de Hollande...
RépondreSupprimerDidier Goux, sortez de ce corps!
SupprimerM'enfin...
C'est vrai, Closer (dont je ne connais que les pages de couverture), c'est quelque chose de diablement important.
RépondreSupprimerTellement plus, que cette déclaration de Delapierre qui, en trouvant quasi normal de voir des candidats PS sous le sigle FdG, est sorti du Parti de Gauche, propriétaire de la marque. Cela signifie que ne restent que les militants (eh oui, toujours là), Mélenchon, et bien sûr sans doute quelques autres personnalités connues à gauche, comme Besancenot, vraiment à gauche (et pas à gauche de la gauche comme l'assène la propaganda des médias).
Autant que les "ramollis" partent maintenant. Et que reste le vrai drapeau rouge, celui qui précisément n'a pas à rougir d'alliances plus ou moins occultes avec le libéral-libéralisme solférineux.