Jean -Marie le Guen, que j'apprécie assez, lance le débat sur l'introduction des salles de shoot pour toxicomanes, en disant qu'il y a urgence sur le sujet: arrêter de voir des seringues trainer n'importe-où, donner des lieux avec des seringues propres et surtout, que ces lieux soient sécurisés et hygiéniques
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On précise dans l'article ci-joint, bien entendu, que l'on ne fournira pas l'héroïne et que cela ne veut pas dire dépénaliser....on s'en doutait un peu quand même...
Très bien, pourrait-on se dire, d'autant plus qu'il apparait que la formule des centres de shoot a été mis en place dans des pays comme la Suisse, l'Allemagne et l'Espagne.
Justement, parlons de ce que je connais: Genève est envahi par les trafics de drogue de toute sorte, il y existe ces salle spéciales, et bien, cela n'empêche pas les seringues de se retrouver dans les cages d'escalier, les jardins publics où les dealers principalement venus d'Amérique du Sud sévissent...pour le trafic de drogues dures qui se prennent avec une seringue...sinon, il y a de tout, bien sûr...
Mais là aussi, les avis divergent: le débat est lancé à Genève, sur la dépénalisation, pour endiguer le trafic.
C'est un peu comme la méthadone: se faire traiter avec ce médicament peut induire une dépendance à vie...
Mais n'est-ce pas mieux qu'une dépendance à l'héroïne, qui tue bien plus vite?
Pas évident de trouver une solution à l'expansion de la consommation de drogues...
Si vous avez des tuyaux, si des expatriés ont des expériences à raconter sur la lutte contre la toxicomanie (je parle bien sûr des politiques menées).
Pour rebondir sur le sujet des drogues, on nous explique que le cannabis consommé à l'adolescence induirait une perte de QI...ou là, j'en vois venir certains...non, l'ado n'est pas forcément un drogué décérébré...et non, je ne crois pas que se tourner vers le pastis ou la bière soit la bonne solution pour des ados...
Puis on nous alarme aussi sur les accidents dus à la consommation des antidépresseurs dans cet article...
Ceux-ci les favoriseraient.
En fait, et si on trouvait un peu les raisons des prises de drogue et qu'on allait un peu plus vers une vraie prévention de ces comportements à risque?
Comme la pilule du bonheur sans risques n'est pas encore en vente et ne risque pas d'être un jour trouvée, si on cherchait un peu à rendre la vie plus supportable et plus belle, si on arrêtait de chercher un cachet pour dormir, et qu'on prenait l'habitude d'un bon livre, par exemple, avant d'en être dépendant?
J'ai pas la solution, mais déjà, donner une vraie perspective d'avenir aux jeunes, ce serait pas mal, non?
Le paradis n'est ni sur terre ni dans une substance quelconque, mais notre quotidien ne serait pas si mal si on s'en donnait les moyens..
Vaste sujet, qu'on ne résoudra pas en autorisant les salles de shoot pour de pauvres victimes d'eux-même et de saloperies de dealers. Mais bon, pourquoi pas essayer...au moins, il y aura peut-être moins de cas de sida...et puis, si cela peut éviter de marcher sur une seringue sur une plage à Nice, au milieu des galets...et juste aussi pour voir la tête d'Estrosi...Là, je souscris tout de suite...
Surtout que comme le dit Elody dans son article, finalement, même si cela embête l'UMP, l'idée de Le Guen n'est pas si fumeuse, en fait...
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On précise dans l'article ci-joint, bien entendu, que l'on ne fournira pas l'héroïne et que cela ne veut pas dire dépénaliser....on s'en doutait un peu quand même...
Très bien, pourrait-on se dire, d'autant plus qu'il apparait que la formule des centres de shoot a été mis en place dans des pays comme la Suisse, l'Allemagne et l'Espagne.
Justement, parlons de ce que je connais: Genève est envahi par les trafics de drogue de toute sorte, il y existe ces salle spéciales, et bien, cela n'empêche pas les seringues de se retrouver dans les cages d'escalier, les jardins publics où les dealers principalement venus d'Amérique du Sud sévissent...pour le trafic de drogues dures qui se prennent avec une seringue...sinon, il y a de tout, bien sûr...
Mais là aussi, les avis divergent: le débat est lancé à Genève, sur la dépénalisation, pour endiguer le trafic.
C'est un peu comme la méthadone: se faire traiter avec ce médicament peut induire une dépendance à vie...
Mais n'est-ce pas mieux qu'une dépendance à l'héroïne, qui tue bien plus vite?
Pas évident de trouver une solution à l'expansion de la consommation de drogues...
Si vous avez des tuyaux, si des expatriés ont des expériences à raconter sur la lutte contre la toxicomanie (je parle bien sûr des politiques menées).
Pour rebondir sur le sujet des drogues, on nous explique que le cannabis consommé à l'adolescence induirait une perte de QI...ou là, j'en vois venir certains...non, l'ado n'est pas forcément un drogué décérébré...et non, je ne crois pas que se tourner vers le pastis ou la bière soit la bonne solution pour des ados...
Puis on nous alarme aussi sur les accidents dus à la consommation des antidépresseurs dans cet article...
Ceux-ci les favoriseraient.
En fait, et si on trouvait un peu les raisons des prises de drogue et qu'on allait un peu plus vers une vraie prévention de ces comportements à risque?
Comme la pilule du bonheur sans risques n'est pas encore en vente et ne risque pas d'être un jour trouvée, si on cherchait un peu à rendre la vie plus supportable et plus belle, si on arrêtait de chercher un cachet pour dormir, et qu'on prenait l'habitude d'un bon livre, par exemple, avant d'en être dépendant?
J'ai pas la solution, mais déjà, donner une vraie perspective d'avenir aux jeunes, ce serait pas mal, non?
Le paradis n'est ni sur terre ni dans une substance quelconque, mais notre quotidien ne serait pas si mal si on s'en donnait les moyens..
Vaste sujet, qu'on ne résoudra pas en autorisant les salles de shoot pour de pauvres victimes d'eux-même et de saloperies de dealers. Mais bon, pourquoi pas essayer...au moins, il y aura peut-être moins de cas de sida...et puis, si cela peut éviter de marcher sur une seringue sur une plage à Nice, au milieu des galets...et juste aussi pour voir la tête d'Estrosi...Là, je souscris tout de suite...
Surtout que comme le dit Elody dans son article, finalement, même si cela embête l'UMP, l'idée de Le Guen n'est pas si fumeuse, en fait...
Il y aura toujours des seringues qui traîneront, et il y aura encore des consommateurs de drogues dures qui feront ça n'importe où.
RépondreSupprimerCar pour aller dans ce genre de salle, il faut aussi assumer l'état dans lequel on est et reconnaître ouvertement qu'on est un toxico. L'aveu de faiblesse et le sentiment de honte sont difficiles à surmonter.
C'est pour ça que je pense que ces salles ne sont pas la SEULE solution mais qu'elles constituent un accompagnement important, en plus de la prévention indispensable, cela va sans dire.
Oui, c'est un tout, merci pour ton article!
SupprimerLe bonheur sans risque ne se trouve pas dans une pilule ! Il niche dans vos billets :)!
RépondreSupprimerMerci!!!!:-))
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