Nous sommes dans les prémisses d'un vrai problème de santé: le fait que les contraceptifs oraux, qu'on nous a toujours prescrit généreusement, à nous les femmes, se retrouvent avoir des impacts très dangereux pour notre santé.
Ce qui était pendant des années le symbole de notre révolution en termes de droits serait en fait un réel poison.
On en est au point que les médecins recommandent maintenant les pilules de deuxième génération plutôt que les deux dernières évolutions, suite aux risques accrus d'accidents thrombo-vasculaires: AVC, thrombose, artères bouchées pour être plus pragmatiques, entre autres...
Pourtant, on nous a vanté les pilules de 3ème et de 4ème génération comme des merveilles de la technologie médicale.
Pourtant, on se fiche très souvent de nous, dans les consultations, quand on dit que la pilule nous fait prendre du poids, nous fait stocker des graisses à cause d'une mauvaise circulation, combien de fois on vous répond, mais Madame, c'est parce qu'elle augmente l'appétit...
La pilule a un désavantage certain, notamment pour les jeunes filles : c'est de leur faire éviter la pratique du préservatif, avec le risque de maladies mortelles comme le SIDA, et aussi la déresponsabilisation du partenaire puisqu'elles gèrent seule le risque de la procréation. Le nombre d'avortements est un lien direct avec ces pratiques, la solitude que doit traverser une jeune adolescente suite à une grossesse non-désirée est une des conséquences de cela.
La pilule est considérée par de nombreux spécialistes anglo-saxons et mondiaux depuis 1978 comme un véritable danger, en plus des risques cardio-vasculaires, elle entrainerait aussi un risque accru face au cancer...
La maîtrise de son corps est important, choisir quand on veut avoir un enfant est clairement un droit. Mais cette liberté peut se faire en dialogue concerté et en complicité avec son ou sa partenaire, c'est d'ailleurs comme cela, il me semble, en parfaite égalité, puisque ce terme est à l'honneur en ce moment, que la contraception se doit d'être pensée, et il est vrai que la solution "chimique", si elle a libéré la femme, un temps, en prouvant qu'on pouvait contrôler le nombre d'enfants dans une famille, est maintenant plus une gêne dans la conception égalitaire du couple, à mon sens, en plus d'être un danger à terme pour celle qui use de contraceptifs oraux, sans parler du traitement hormonal à la ménopause...
Dans la problématique des familles monoparentales dont le chef de famille est une femme, il y a un nombre non négligeable de mères s'étant retrouvée seules face à un père trop jeune ne se sentant pas responsable de la venue au monde de son enfant, dans le cadre d'une grossesse non désirée...
image d'en-tête issue de ce site
Ce qui était pendant des années le symbole de notre révolution en termes de droits serait en fait un réel poison.
On en est au point que les médecins recommandent maintenant les pilules de deuxième génération plutôt que les deux dernières évolutions, suite aux risques accrus d'accidents thrombo-vasculaires: AVC, thrombose, artères bouchées pour être plus pragmatiques, entre autres...
Pourtant, on nous a vanté les pilules de 3ème et de 4ème génération comme des merveilles de la technologie médicale.
Pourtant, on se fiche très souvent de nous, dans les consultations, quand on dit que la pilule nous fait prendre du poids, nous fait stocker des graisses à cause d'une mauvaise circulation, combien de fois on vous répond, mais Madame, c'est parce qu'elle augmente l'appétit...
La pilule a un désavantage certain, notamment pour les jeunes filles : c'est de leur faire éviter la pratique du préservatif, avec le risque de maladies mortelles comme le SIDA, et aussi la déresponsabilisation du partenaire puisqu'elles gèrent seule le risque de la procréation. Le nombre d'avortements est un lien direct avec ces pratiques, la solitude que doit traverser une jeune adolescente suite à une grossesse non-désirée est une des conséquences de cela.
La pilule est considérée par de nombreux spécialistes anglo-saxons et mondiaux depuis 1978 comme un véritable danger, en plus des risques cardio-vasculaires, elle entrainerait aussi un risque accru face au cancer...
La maîtrise de son corps est important, choisir quand on veut avoir un enfant est clairement un droit. Mais cette liberté peut se faire en dialogue concerté et en complicité avec son ou sa partenaire, c'est d'ailleurs comme cela, il me semble, en parfaite égalité, puisque ce terme est à l'honneur en ce moment, que la contraception se doit d'être pensée, et il est vrai que la solution "chimique", si elle a libéré la femme, un temps, en prouvant qu'on pouvait contrôler le nombre d'enfants dans une famille, est maintenant plus une gêne dans la conception égalitaire du couple, à mon sens, en plus d'être un danger à terme pour celle qui use de contraceptifs oraux, sans parler du traitement hormonal à la ménopause...
Dans la problématique des familles monoparentales dont le chef de famille est une femme, il y a un nombre non négligeable de mères s'étant retrouvée seules face à un père trop jeune ne se sentant pas responsable de la venue au monde de son enfant, dans le cadre d'une grossesse non désirée...
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Franchement je crois qu'il faudrait sérieusement mettre en cause les médecins ou les gynécologues qui la prescrivent à tout vent. Alors qu'il existe d'autres moyens de contraceptions, on nous donne à 90% la pilule. Là plupart d'entre nous pense qu'il faut déjà avoir eu un enfant pour avoir un stérilet, et ne connaisse pas les spermicides ou l'implant. Il existe de nombreux moyens de contraceptions, alors pourquoi on nous prescrit tout le temps (même avec des contradictions : fumeuse ou autres) la pilule ? La responsabilité des médecins n'est elle pas légèrement en cause ?
RépondreSupprimerOui, je m'étonne de cet omerta là-dessus, surtout que cela a marqué les esprits, l'accès à la contraception.
SupprimerSans doute ceci explique cela.
Je ne pense pas que les gynécologues soient forcément coupables, c'est l'autorité de contrôle des médicaments qui ne fait pas son job, dans ce cas-là, ce qu'on appelle le principe de précaution n'est pas assez mis en avant.
Après, il y a la pratique des visiteurs médicaux, et des cadeaux aux médecins, mais cela touche tous les médicaments: c'est global, cela s'est traduit pas la cabale contre les médicaments génériques.
Un de mes médecins de famille avait interdit les visiteurs médicaux, il estimait qu'il perdait du temps, au détriment de ses patients et qu'il n'avait pas besoin des cadeaux sous forme de séminaires ou autres vacances pour prescrire les médicaments qu'il jugeait les mieux.
Il est sur qu'en mettant un médecin référent, les pratiques ont du s'intensifier, souvent les femmes passent par leur généraliste pour un renouvellement de pilule.
Bref, ce n'est pas parfait, tu as raison de parler de remise en cause du système.
Bonjour,
RépondreSupprimerLe système peut, certes être remis en question, j'en conviens ! cependant, n'a t'on pas tendance non plus à se déresponsabiliser ? le problème de la pilule n'est pas d'aujourd'hui ... il y a 30 ans en arrière déjà, mon gynécologue m'en signalait les risques !
La "libéralisation" de la sexualité doit être comprise et assumée ... il ne suffit pas dire à nos enfants, "prends la pilule, tu seras protégée" ... notre rôle de parents est d'accompagner, d'expliquer et d'anticiper aussi ...
Belle journée à tous