Ah, certains s'embêteraient tant sans nous, obligés de nous troller afin de paraitre spirituels...c'est quand même énorme...
Nicolas a très bien expliqué le phénomène.
Je vais quand même mettre ma petite contribution:
Des députés sont allés au Vatican recevoir la bonne parole, et on les a exhortés à abroger des lois si elles n'étaient pas catholiquement correctes, vu que le Pape n'a fait aucun discours afin de désavouer les propos de Barbarin et Jean XXIII qui ne veulent pas du mariage pour tous, qui ne dit mot consent, et ainsi ce fait divers renforce la croisade des CIVITAS et autres joyeux drilles contre cette loi républicaine votée, exacerbant les agressions homophobes et le climat de haine....
J'ai pourtant, en tant que défenderesse de la liberté de croire, dit du bien de ce nouveau Pape, à de nombreuses reprises, ici et sur Twitter.
Mais le fait d'avoir appuyé là où cela fait mal a provoqué une attaque de trolls...faisant comme ce que François le pape a fait : juger la République et vouloir influer sur ses institutions, mais ne supportant pas le jugement en retour...
En fait, je suis toujours stupéfaite qu'on soit capable de juger et condamner la pensée complexe de l'autre sur quelques mots compris de travers, parce qu'on aurait l'outrecuidance de critiquer un homme, un simple homme, ni saint ni père pour au 73% de la population mondiale, un chef d'une religion comme les autres pour certains, un gourou qui a réussi pour d'autres. Clairement, pour moi, c'est juste un homme parmi les hommes, ni mieux ni moins bien, d'origine argentine, ayant vécu une dictature, se retrouvant à la tête d'un mini-état, coopté arbitrairement par les siens, oligarque, survivance féodale d'un autre genre, toléré comme un accident de l'histoire, qui possède une banque et une bibliothèque....bof...
En tant que passionnée par les religions, il m'intéresse comme sujet d'étude, c'est vrai. En tant que croyante, respectant les textes religieux et aimant m'y plonger, je n'ai aucun besoin de son avis ou de sa permission de réfléchir quand je lis l’Évangile, et que j'y trouve ma vérité, en usant de mon libre-arbitre.
A-t-on le droit de le critiquer? Bien sûr que oui, d'autant plus qu'il est censé représenter un système qui pour moi, comme pour d'autres, dénaturent le message philosophique humain que les Écritures défendent pourtant. Il est donc responsable des abus de l’Église catholique.
Nous sommes en République.
Pourtant, quand j'ai critiqué certains musulmans comme Chalgoumi, Blancho, Tariq Ramadan, les soutiens de la manif pour tous, je n'ai pas eu d'attaques ou d'agressions trollesques...
Étonnant, non?
Nicolas a très bien expliqué le phénomène.
Je vais quand même mettre ma petite contribution:
Des députés sont allés au Vatican recevoir la bonne parole, et on les a exhortés à abroger des lois si elles n'étaient pas catholiquement correctes, vu que le Pape n'a fait aucun discours afin de désavouer les propos de Barbarin et Jean XXIII qui ne veulent pas du mariage pour tous, qui ne dit mot consent, et ainsi ce fait divers renforce la croisade des CIVITAS et autres joyeux drilles contre cette loi républicaine votée, exacerbant les agressions homophobes et le climat de haine....
J'ai pourtant, en tant que défenderesse de la liberté de croire, dit du bien de ce nouveau Pape, à de nombreuses reprises, ici et sur Twitter.
Mais le fait d'avoir appuyé là où cela fait mal a provoqué une attaque de trolls...faisant comme ce que François le pape a fait : juger la République et vouloir influer sur ses institutions, mais ne supportant pas le jugement en retour...
En fait, je suis toujours stupéfaite qu'on soit capable de juger et condamner la pensée complexe de l'autre sur quelques mots compris de travers, parce qu'on aurait l'outrecuidance de critiquer un homme, un simple homme, ni saint ni père pour au 73% de la population mondiale, un chef d'une religion comme les autres pour certains, un gourou qui a réussi pour d'autres. Clairement, pour moi, c'est juste un homme parmi les hommes, ni mieux ni moins bien, d'origine argentine, ayant vécu une dictature, se retrouvant à la tête d'un mini-état, coopté arbitrairement par les siens, oligarque, survivance féodale d'un autre genre, toléré comme un accident de l'histoire, qui possède une banque et une bibliothèque....bof...
En tant que passionnée par les religions, il m'intéresse comme sujet d'étude, c'est vrai. En tant que croyante, respectant les textes religieux et aimant m'y plonger, je n'ai aucun besoin de son avis ou de sa permission de réfléchir quand je lis l’Évangile, et que j'y trouve ma vérité, en usant de mon libre-arbitre.
A-t-on le droit de le critiquer? Bien sûr que oui, d'autant plus qu'il est censé représenter un système qui pour moi, comme pour d'autres, dénaturent le message philosophique humain que les Écritures défendent pourtant. Il est donc responsable des abus de l’Église catholique.
Nous sommes en République.
Pourtant, quand j'ai critiqué certains musulmans comme Chalgoumi, Blancho, Tariq Ramadan, les soutiens de la manif pour tous, je n'ai pas eu d'attaques ou d'agressions trollesques...
Étonnant, non?
Laisse tomber les trolls !
RépondreSupprimerChacun son tour, oh! ne prive pas les copines!
SupprimerAh, si les parlementaires avaient le sens de l'humour...
RépondreSupprimerÀ peine revenus du Vatican, ils twitteraient au pape "Message reçu cinq sur cinq: oui, rien n'empêche que des lois votées puissent être abrogées!" et ils déposeraient une proposition de loi abrogeant toute forme d'aide à toutes les écoles religieuses.
Chiche!
Supprimerje trouve aussi :-)
Je viens d'en faire un billet sur mon blog (que seul le Pape vous interdit de mettre sur votre blog'n roll, soit dit en passant...)
SupprimerC'est à dire que je ne mets sur ma blogroll, soit des petits blogs qui sont minuscules en terme d'audience, mais qui sont intéressants, soit des blogs avec qui je fais un échange de liens.
SupprimerEt vous n'avez pas de blogroll :(
mettez une blogroll, mon blog et je me ferai un devoir de vous y mettre, sans souci
SupprimerJe ne sais pas mettre un blogroll, c'est Marianne qui m'a fabriqué mon blog.
SupprimerBon, tant pis.