Vla un article du Monde au titre apocalyptique: les hausses d'impôts en France ont atteint un seuil fatidique, estime Olli Rehn.
Au moment où la rentrée arrive, faut dire qu'il n'y a pas 36 sujets qui tournent en boucle: les cartables, le coût de la vie, les impôts et bien entendu les futurs mouvements sociaux. Chacun y va de son grain de sel afin de prévoir une explosion sociale et des manifestations.
L'an dernier, le gouvernement y a échappé avec les histoires du mariage pour tous. Certaines mauvaises langues pourraient tout à fait conclure qu'en mettant sur le tapis le droit à la famille homosexuelle, on a fait divergé les préoccupations et qu'on a ainsi évité des grosses manifestations de ras-le-bol et anti-crise.
Oui, on pourrait le dire mais alors Hollande et Ayrault seraient vraiment machiavéliques?
Un ange passe...
Bon, revenons au premier sujet des médias , ce sera vite la rentrée des petits n'enfants dans des locaux qui puent, d'une hygiène terrible, vecteurs de toutes les maladies contagieuses et accessoirement de la culture et des formations des jeunes, où l'on parque nos têtes blondes au milieu d'un établissement fermé, rythmé par des sonneries, à mi-chemin entre le monastère et une usine qui ne produirait que de la matière grise uniformisée selon l'âge et le niveau. Oui, je sais vu comme cela, c'est terrible mais pensez aux professeurs qui, comme les matons vivent dans ces lieux toute leur vie active, devant supporter la crasse, le bruit et...les odeurs. On n'ose? Heu...Vouiiiii.
Car une fois ou deux par semaine, on sort les gamins au sport en les faisant tourner comme des hamster autour d'un ovale, dans le froid et la frustration d'un sifflet recyclé sorti tout droit d'un vieux chenil qui schlingue autant que les toilettes dans un collège lambda.
Le pire est que certains élèves arrivent à éprouver le syndrôme de Stockolm, ainsi que certains parents, voire même des profs arrivent à continuer d'aimer leur boulot, malgré un salaire moyen tellement minable que beaucoup de grands esprits ne veulent même pas envisager l'enseignement, et que trop souvent, en mathématiques par exemple , seuls les recalés des grandes filières prestigieuses et bien rémunérées, tellement nuls, échouent à expliquer des théorèmes, on se demande pourquoi, à des gosses qui ont l'impression que Dieu a inventé les maths juste pour les torturer environ 3 h ou 4h par semaine. On se demande bien pourquoi...
Ben oui, avoir les moins doués sous la main pour enseigner à des ânes finis, on voit le résultat...c'est mathématique.
La vocation, dans ces conditions, c'est le feu sacré, la sanctification. Mais cela arrive encore sans doute par l'opération du Saint Esprit Laïc...
Dans ce climat morose, où les parents attendent qu'on les tonde au niveau du trousseau scolaire,entre autres, vla qu'on nous parle de la feuille d'impôt, au-cas-où on arrive quand même à garder le moral, en rêvant de feux de cheminées, de feuilles mortes rutilantes et de l'odeur des chataignes grillées, après une pluie qui rend les odeurs forestières des champignons, des mousses et d'une terre riche, comme chez moi, par exemple....
Non, il faut déprimer, se morfondre, et puis c'est tout.
On nous parle des impôts, des futures hausses, et c'est un mec qu'on n'a pas envie perso de connaître, un certain Olli Rehn, illustre inconnu finlandais, créature de Barroso, que le Monde a mis en avant, qui explique que la France ne doit pas faire plus de prélèvements obligatoires, car on aurait atteint la ligne rouge, sous peine de pénaliser la croissance....
Les impôts en France, c'est comme un puits sans fond, cela fait des années qu'on nous dit qu'il y en a trop, et on en invente toujours d'autres.
Là, c'est plus un ange qui passe, c'est un bateau, un paquebot...
Je n'invente pas, ce type a été à la direction du football finlandais, a été incapable de garder un ministère longtemps et sors bien entendu d'Oxford. Le technocrate parfait, bien loin du facteur humain de la politique.
Pourtant, videz la politique de l'humain, et vous n'avez plus rien d'autre qu'une administration froide et risible, si on oublie les dégâts que cela cause aux personnes.
Car on nous cite le FMI dans l'article, en plus, si, si...
Si ça, c'est pas du foutage de gueule...
Et on nous reparle de fiscalité écologique, comme si la repeindre en vert allait faire passer les impôts, une espèce de vaseline new look, en somme.
En conclusion, faut pas faire de nouvelles hausses d'impôts, sauf si c'est pour la planète, et du coup, on ne sait toujours pas comment sortir de la crise, en relançant l'économie. Car il parait que c'est le sujet principal, pourtant...
Du coup, on attend l'hiver avec impatience, tiens.
Au moins, on peut croire au Père Noël quelques jours sans passer pour un naïf ou un fou....
Au moment où la rentrée arrive, faut dire qu'il n'y a pas 36 sujets qui tournent en boucle: les cartables, le coût de la vie, les impôts et bien entendu les futurs mouvements sociaux. Chacun y va de son grain de sel afin de prévoir une explosion sociale et des manifestations.
L'an dernier, le gouvernement y a échappé avec les histoires du mariage pour tous. Certaines mauvaises langues pourraient tout à fait conclure qu'en mettant sur le tapis le droit à la famille homosexuelle, on a fait divergé les préoccupations et qu'on a ainsi évité des grosses manifestations de ras-le-bol et anti-crise.
Oui, on pourrait le dire mais alors Hollande et Ayrault seraient vraiment machiavéliques?
Un ange passe...
Bon, revenons au premier sujet des médias , ce sera vite la rentrée des petits n'enfants dans des locaux qui puent, d'une hygiène terrible, vecteurs de toutes les maladies contagieuses et accessoirement de la culture et des formations des jeunes, où l'on parque nos têtes blondes au milieu d'un établissement fermé, rythmé par des sonneries, à mi-chemin entre le monastère et une usine qui ne produirait que de la matière grise uniformisée selon l'âge et le niveau. Oui, je sais vu comme cela, c'est terrible mais pensez aux professeurs qui, comme les matons vivent dans ces lieux toute leur vie active, devant supporter la crasse, le bruit et...les odeurs. On n'ose? Heu...Vouiiiii.
Car une fois ou deux par semaine, on sort les gamins au sport en les faisant tourner comme des hamster autour d'un ovale, dans le froid et la frustration d'un sifflet recyclé sorti tout droit d'un vieux chenil qui schlingue autant que les toilettes dans un collège lambda.
Le pire est que certains élèves arrivent à éprouver le syndrôme de Stockolm, ainsi que certains parents, voire même des profs arrivent à continuer d'aimer leur boulot, malgré un salaire moyen tellement minable que beaucoup de grands esprits ne veulent même pas envisager l'enseignement, et que trop souvent, en mathématiques par exemple , seuls les recalés des grandes filières prestigieuses et bien rémunérées, tellement nuls, échouent à expliquer des théorèmes, on se demande pourquoi, à des gosses qui ont l'impression que Dieu a inventé les maths juste pour les torturer environ 3 h ou 4h par semaine. On se demande bien pourquoi...
Ben oui, avoir les moins doués sous la main pour enseigner à des ânes finis, on voit le résultat...c'est mathématique.
La vocation, dans ces conditions, c'est le feu sacré, la sanctification. Mais cela arrive encore sans doute par l'opération du Saint Esprit Laïc...
Dans ce climat morose, où les parents attendent qu'on les tonde au niveau du trousseau scolaire,entre autres, vla qu'on nous parle de la feuille d'impôt, au-cas-où on arrive quand même à garder le moral, en rêvant de feux de cheminées, de feuilles mortes rutilantes et de l'odeur des chataignes grillées, après une pluie qui rend les odeurs forestières des champignons, des mousses et d'une terre riche, comme chez moi, par exemple....
Non, il faut déprimer, se morfondre, et puis c'est tout.
On nous parle des impôts, des futures hausses, et c'est un mec qu'on n'a pas envie perso de connaître, un certain Olli Rehn, illustre inconnu finlandais, créature de Barroso, que le Monde a mis en avant, qui explique que la France ne doit pas faire plus de prélèvements obligatoires, car on aurait atteint la ligne rouge, sous peine de pénaliser la croissance....
Les impôts en France, c'est comme un puits sans fond, cela fait des années qu'on nous dit qu'il y en a trop, et on en invente toujours d'autres.
Là, c'est plus un ange qui passe, c'est un bateau, un paquebot...
Je n'invente pas, ce type a été à la direction du football finlandais, a été incapable de garder un ministère longtemps et sors bien entendu d'Oxford. Le technocrate parfait, bien loin du facteur humain de la politique.
Pourtant, videz la politique de l'humain, et vous n'avez plus rien d'autre qu'une administration froide et risible, si on oublie les dégâts que cela cause aux personnes.
Car on nous cite le FMI dans l'article, en plus, si, si...
Si ça, c'est pas du foutage de gueule...
Et on nous reparle de fiscalité écologique, comme si la repeindre en vert allait faire passer les impôts, une espèce de vaseline new look, en somme.
En conclusion, faut pas faire de nouvelles hausses d'impôts, sauf si c'est pour la planète, et du coup, on ne sait toujours pas comment sortir de la crise, en relançant l'économie. Car il parait que c'est le sujet principal, pourtant...
Du coup, on attend l'hiver avec impatience, tiens.
Au moins, on peut croire au Père Noël quelques jours sans passer pour un naïf ou un fou....
Ben dis donc Rosa, tes vacances t'ont réussi . Content de te retrouver en si bonne forme. Humour et dérision côtoyant les infos les plus "sérieuses", le mélange est détonnant!
RépondreSupprimerC'était quand même beaucoup plus simple du temps de Sarkozy, on faisait juste payer les pauvres, ceux qui n'écrivent pas dans les journaux, et hop, le problème était réglé..pour les plus riches.
Si les pauvres ne payaient pas, comment pourrait-il y avoir des riches capables d'écrire le code des impôts ? c'est vrai, quoi !
RépondreSupprimerLe FMI et ce c... d'incompétent de technocrate européen :Ils commencent à me les briser menu menu (extrait d'un dialogue de Michel Audiard)
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