Je trouve cet article peu clair et fleurtant avec des sous-entendus, des seconds degrés peu perceptibles, et des affirmations dangereuses.
Je ne comprends pas pourquoi tout le monde se targue de connaître l'opinion publique de tout un peuple, vivant entre plusieurs régions, dans des milieux différents, dont d'ailleurs une grande partie se fiche d'Internet et devient de plus en plus opaque aux médias, malgré ce qu'on en dit.
Peu d'entre les Français sont des cybernautes, branchés entre Internet et la télévision, faut-il quand même le rappeler.
Aussi, quand Nathalie Rheims parle des Français dans son article, de qui parle-t-elle? De cette masse fantasmée à laquelle se réfèrent encore un Wauquier, un Copé, un Bertrand, tous trois savaient tellement ce que pensaient les Français que leur champion Sarkozy s'est mangé une grosse mandale aux présidentielles? Ou ceux dont Bruno Leroux parle aussi maintenant? Qui risquent aussi de n'être fiable que pour appuyer la langue de bois des politiques. Bref, ceux-ci n'ont aucune réalité tangible.
Ceux qui acceptent de faire le guignol devant la télé? Combien de refus essuient les journalistes? Combien d'interview trottoirs sont coupés au montage? Ceux-là n'ont aussi aucune représentativité.
Bref, je ne parlerais pas de celle dont Rheims déplore qu'on parle trop.
Je dirais juste que lorsqu'un parti est trop sûr de lui, trop arrogant, il se prend dans les urnes une belle veste, histoire de le remettre à sa place par ces Français dont il croit tout savoir.
Certains passages sont justes dans ce que dit Rheims mais triez, prenez du recul...et surtout dites-vous que les seuls qui savent ce que l'avenir réserve sont des charlatans et font payer très cher leurs conseils, ou des camelots.
Tout ce que je sais, c'est que lorsque notre confrère Politeeks a été attaqué par cette dame dont on discute trop peu ou pas assez, en justice, nous n'avons pas fait attention à nos différences d'opinion pour faire bloc avec lui contre sa plainte.
La vraie vie, elle existe encore.
Je ne comprends pas pourquoi tout le monde se targue de connaître l'opinion publique de tout un peuple, vivant entre plusieurs régions, dans des milieux différents, dont d'ailleurs une grande partie se fiche d'Internet et devient de plus en plus opaque aux médias, malgré ce qu'on en dit.
Peu d'entre les Français sont des cybernautes, branchés entre Internet et la télévision, faut-il quand même le rappeler.
Aussi, quand Nathalie Rheims parle des Français dans son article, de qui parle-t-elle? De cette masse fantasmée à laquelle se réfèrent encore un Wauquier, un Copé, un Bertrand, tous trois savaient tellement ce que pensaient les Français que leur champion Sarkozy s'est mangé une grosse mandale aux présidentielles? Ou ceux dont Bruno Leroux parle aussi maintenant? Qui risquent aussi de n'être fiable que pour appuyer la langue de bois des politiques. Bref, ceux-ci n'ont aucune réalité tangible.
Ceux qui acceptent de faire le guignol devant la télé? Combien de refus essuient les journalistes? Combien d'interview trottoirs sont coupés au montage? Ceux-là n'ont aussi aucune représentativité.
Bref, je ne parlerais pas de celle dont Rheims déplore qu'on parle trop.
Je dirais juste que lorsqu'un parti est trop sûr de lui, trop arrogant, il se prend dans les urnes une belle veste, histoire de le remettre à sa place par ces Français dont il croit tout savoir.
Certains passages sont justes dans ce que dit Rheims mais triez, prenez du recul...et surtout dites-vous que les seuls qui savent ce que l'avenir réserve sont des charlatans et font payer très cher leurs conseils, ou des camelots.
Tout ce que je sais, c'est que lorsque notre confrère Politeeks a été attaqué par cette dame dont on discute trop peu ou pas assez, en justice, nous n'avons pas fait attention à nos différences d'opinion pour faire bloc avec lui contre sa plainte.
La vraie vie, elle existe encore.
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