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samedi 7 décembre 2013

Pourquoi je suis contre la morale à l'école

En politique, il faut parfois ne pas réagir à chaud sur certains sujets et prendre du recul.
Tel ce sujet: la morale à l'école. Je
n'ai jamais trop sourcillé sur les cours d'éducation civique, on en a presque tous suivi, sur les institutions, le vote etc...aussi quand Vincent Peillon a voulu rétablir les cours de morale républicaines, je me suis dit pourquoi pas. Et puis, vient le temps de la réflexion.

Dans la nouvelle école, il y a eu un glissement de l' éducation civique à la morale, insidieusement, sur fond de la nouvelle heure qu'on a appelé" vie de classe" et l' obsession de la laïcité.
Et les directives afin de se servir, de manière bien intentionnée, de l'histoire afin de commémoration d' un des plus grands crimes de cette histoire,moderne, soit la Solution Finale, dont l' extermination est nommée Shoah, pour que l' antisémitisme et le racisme ne croissent pas, on voit bien que ces directives ont mené à un échec complet.
Non seulement le FN et sa cohorte d' extrémistes sont en pleine forme, mais en plus, les gamins, je le vois chez les miens, ont acquis une résistance quasi naturelle à tout ce qui ressemble à de la morale de près ou de loin, les rappels de la Shoah compris, à tel point qu'on doit, nous, insister sur ce sujet à la maison, pour qu'ils se rendent compte de l' importance du devoir de mémoire.

Je crois bien que la morale dans l' école est vouée à l' échec.

Il y a aussi une bonne raison à ce constat : simplement notre société est gavée de morale bien pensante : il y a une omniprésente télévision, l' usage d'internet et surtout, un manque de communication flagrant entre l' école et l' élève.

L' émetteur, dans ce cas, celui qui envoie l' information, est le professeur ou le personnel encadrant, le récepteur étant l' élève. Or, tout se passe comme si l' émetteur ne sait pas envoyer les bons signaux, car le récepteur ne les décrypte pas.

On dit alors qu'il y aurait un manque d'autorité. Les élèves n' auraient plus de considération envers les professeurs. Ils n' obéiraient plus et ne se soumettraient pas aux règles et règlements.

Revenons un peu sur ces notions, elles sont intéressantes.

Qui dit soumission à l' autorité dit obéissance. En fait, les élèves n' obéiraient plus et manqueraient même de respect.
Justement, on prend ici le problème à l' envers.

Très souvent, les gamins ont peur du professeur ou de l' adulte. Ils ont peur de ce que pourraient raconter celui-ci à leur parents, qui pourraient se fâcher et les punir. Ils n'ont aucune confiance dans ce référent. Or, on a besoin de confiance si on se doit de transmettre une information. On a besoin que la transmission soit sécurisée.
A tort ou à raison, la plupart des élèves se trouvent dans un environnement qu'ils estiment hostile, susceptible de les mettre en danger. Le manque de respect est ici manifeste mais il vient aussi du professeur, supposé hostile et dangereux en général.

On a ici les bases d'une réelle autorité et non de,l' autoritarisme : j'ai cité le respect, la confiance et la sécurité, ces trois notions fondent l' autorité, qui se doit d'être reconnue légitime par ce biais. On respecte une autorité parce qu' on a confiance et qu'on se sent en sécurité, par là même vient l' acceptation de cette autorité à laquelle on choisit d' obéir.

On est loin du schéma punitif qui est encore censé gouverner l' autorité de l' école.

Pourquoi j'insiste là dessus? Parce qu' on cherche à inculquer une morale à nos gamins comme on cherche à les faire obéir? Tout à fait.

Alors qu'on ne peut que les guider, grâce au respect et à la confiance qu'ils nous accordent, Socrate parlait de la maïeutique, l' art d' accoucher les esprits, de les guider afin qu'ils s' éveillent à leur propre vérité.
Pourquoi je parle de Socrate? Parce qu' on ne peut enseigner la morale mais par contre, vulgariser et initier à la philosophie, on peut. Faire en sorte que les élèves acquièrent une philosophie républicaine, une culture républicaine qui leur est propre, en rappelant des principes universels, c'est possible.

Il ne suffit pas de balancer un an de philosophie en terminale, comme si on se débarrassait d' une corvée, comme si il ne fallait pas que les élèves apprennent à réfléchir par eux-mêmes.
Pourtant, on veut leur transmettre un savoir, des connaissances, sans leur donner les outils afin qu'ils assimilent ce savoir.
On semble vouloir préférer le bourrage de crâne, la morale, l' obéissance aveugle et on se demande pourquoi cela ne marche pas...

16 commentaires:

  1. Qui dit terreur dit rébellion. C'est humain, c'est logique. Je me souviens de mes années en classe : les profs les plus humains étaient aussi les plus respectés, tout naturellement. La question ne se posait même pas. Effectivement entrent en jeu la confiance (réciproque) et la réflexion.

    Quant à la morale, c'est bien l'une des choses les plus hypocrites que je connaisse. "Faites ce que je dis, pas ce que je fais". Mais les Tartuffe ne sont-ils pas revenus, à la Cour de l'Élysée ?

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    1. On est d'accord, si on obéit, c'est qu'on respecte le professeur. Jamais, au cours de mes 7 ans dans l’éducation Nationale, je n'ai manqué de respect à mes élèves. Par contre, ils m'appréciaient comme une personne qui se dévouait pour eux. Je me suis mise en porte-à-faux pour eux, contre la direction et contre les autres, et ça a marché, je suis heureuse que certains élèves dits difficile aient trouvé leur voie! C'est effectivement une question d'humanité car ce n'était pas mes 57 kilos et ma condition physique qui faisaient qu'ils m'écoutaient et que je n'ai jamais eu de chahut dans mes cours et dans mes permanences.

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  2. La morale doit être l'affaire des parents (et du prêtre pour les croyants). Si l'école pouvait se contenter d'apprendre aux enfants à lire, écrire et compter correctement, ce serait déjà bien. Hélas, on s'en éloigne un peu plus chaque jour.

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    1. La morale, s'il en existe une, est du domaine du privé, effectivement.
      Le souci est qu'on devient tellement obsédé par la conduite des élèves qu'on en oublie que l'école est faite pour qu'on y apprenne un savoir, ou du moins comment apprendre à apprendre.
      Pour lire, je peux vous dire que si nous nous étions contenté de la méthode globale, jamais nos gamins n'auraient su lire à 5 et 6 ans, et jamais ils n'auraient eu le goût de lire, hélas.
      Pour écrire, c'est catastrophique, les fautes sont légions dans leurs copies, et c'est général : si on notait comme il y a 25 ans, la plupart des gamins n'auraient pas la moyenne. Cela est un des soucis généralisé: on peut dire que presque tous les gosses font 50 fautes en moyenne dans leurs copie...et on a eu beau faire, ça ne rentre pas!
      Pour compter, l'un a réussi à passer son bac avec mention bien en scientifique mais en souffrant en maths, et l'autre fait une allergie, se retrouve en bac littéraire, grâce à un niveau en langues et en français qui lui vient...des centres d'intérêt de la maison, pas de l'école!

      En gros, si les parents ont un bon niveau, les enfants s'en sortent, mais au prix d'un soutien scolaire à la maison, et d'efforts énormes¨!
      On souffle, depuis que le Grand est à l'université! Plus qu'une à surveiller, stimuler, soutenir!

      Donc, oui, votre conclusion est vraiment réaliste, mais il me semble que c'est un point sur lequel nous sommes d'accord en général.

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  3. Aux parents d'apporter aux enfants, non "une morale", mais une éthique de la vie, ce qui est bien plus, et en même temps moins contraignant parce que naturel. En revanche cela demande de la part des aînés de la réflexion, et un retour sur leurs propres pratiques. Chaque geste de la vie a son importance, et il convient de l'expliquer. Voire de se l'expliquer, quand des habitudes ont été prises (je pense aux gestes écologiques souvent simples, mais souvent non appris par nos générations).

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    1. Oui, c'est ce que je dis, nous devons les guider, leur apprendre à penser, pas leur dire quoi penser.
      Cela rejoint nos discussions passées, d'ailleurs.
      Nous leur léguons notre monde.

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  4. Apprendre aux élèves à réfléchir !!! et pourquoi pas à demander des comptes et à ne pas s'en laisser conter (Condorcet)
    Quel que soit le pays, les dirigeants (et Cie) veulent de bons petits moutons, bons petits soldats prêts à se soumettre.
    Réfléchir, penser, et puis quoi encore.
    Mais, quand on se comporte en mouton, on finit en côtelettes (Péricho Legasse)

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    1. Bien sûr mais nous sommes sensés être en démocratie, non?
      Après, certains se demandent pourquoi les jeunes n'ont aucun sens civique (ils en ont mais pas comme nous voulons qu'ils en aient ;-) ).
      Mais ce que tu dis est juste: on n'a pas à leur inculquer un comportement de mouton théoriquement.

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  5. Gérard12/08/2013

    La morale républicaine n'a rien à voir avec celle de Frigide Barjot .
    Pour connaître bien le milieu enseignant ( je l'ai été moi-même) composé en immense partie de gens sensés, passionnés, pour qui ce métier est presque un sacerdoce , je ne pense pas un seul instant qu'ils aient voulu remplacé la "morale" enseignée par les parents par une autre morale insidieuse et liberticide.
    Ils veulent juste rappeler aux enfants ce que veulent dire "liberté, égalité, fraternité" dans notre république . Je parle bien évidemment pour les écoles publiques donc laïques par définition .
    Il existe des écoles confessionnelles où le prosélytisme ne dérange personne, mais passons, les parents ont droit d'orienter ou pas la "morale" de leurs enfants comme ils veulent , leurs enfants essaieront plus tard de s'en débarrasser ou pas.
    Par contre ce que les enfants ont le devoir de respecter, ce sont les différences, la liberté des autres autant que la leur, ce qu'apparemment les adultes ne savent pas faire ou si peu.

    Contrairement à ce qu'on pense, on demande de plus en plus aux enseignants: l'apprentissage de toutes les disciplines scolaires bien entendu , mais aussi de décerner si possible dès la maternelle vers quel métier ils doivent s'orienter.
    Ils doivent aussi dispenser l'éducation, être "l'autorité", le garde-chiourme, et tant qu'à faire le bouc-émissaire d'une société qui ne sait pas ( ou trop bien) où elle va.
    Les procès faits à l'école le sont le plus souvent au nom de la stigmatisation des fonctionnaires trop payés avec beaucoup de vacances, qui ne foutent rien ..etc. On veut bien faire en sorte que l'on supprime un fonctionnaire sur deux mais pas chez soi, chez les autres si possible . Quand on veut tuer son chien...
    Surtout quand par ailleurs certains parents n'hésitent pas à faire le coup de poing quand un prof a osé donner une mauvaise note à leur chérubin.
    Enseigner mais pas évaluer, faire en sorte que tous les enfants soient des petits génies, ne redoublent pas, surtout ne pas faire de remarque, obéir aux desiderata des parents, voila ce qu'on leur demande. Le respect pour les enseignants et la fonction ça devrait exister aussi .

    Mais à une époque un peu parano et conspirationniste, où le "malin" s'infiltre partout, il est tellement facile de dire que si notre enfant apprend ou se porte mal c'est forcément de la faute de "l'autre", de celui qui ne fait pas partie du petit cocon familial.
    Je n'aime pas spécialement Peillon mais il a eu le mérite d'essayer de retrouver un peu de réflexion... Apparemment c'est raté comme d'habitude. Il doit certainement avoir une sale idée en tête, attention danger!
    Quant aux "gentils" profs respectés, je peux témoigner directement que c'est peut-être vrai en rêve, dans la réalité, les enfants auraient plutôt tendance à en profiter . D'où l'actuelle reprise en main par des enseignants qui n'en peuvent plus de passer 1/4 heure à 1/2 heure de cours à réclamer le silence qui se sera de toute façon qu'apparent.
    Car notre "morale" actuelle veut aussi que les enfants sachent forcément tout , car comme aurait pu le dire Sarkozy, Internet est plus important que l'instituteur , y compris pour beaucoup de parents. A méditer aussi . Bon dimanche Rosa

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    1. Gérard12/08/2013

      ;;;pas décerner, mais discerner

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    2. Cela fait combien de temps que tu n'es plus enseignant, et que tu n'es plus en contact direct avec l'école?
      Alors, je vais juste te dire une chose: oui, j'ai des gosses qui ont profité de ma gentillesse, oui, j'ai été humaine, oui, je me suis faite avoir. Mais jamais dans mes cours, il n'y a eu de chahut et de manque de respect, et pourtant, j'ai eu affaire à des gosses de banlieue, des immigrés, des pauvres, même! des gamins de SES (ou CPPN) aussi.
      J'ai eu aussi la sempiternelle rengaine: mais pourquoi tu t'intéresse à lui ou elle? Tu te donnes de la peine pour rien, c'est pas la peine de t'emmerder avec ça, et je cite de mémoire!
      Alors, quand cette cause perdue avait un comportement qui s'arrangeait , parce que je prenais le temps de lui parler et de suivre son travail, au risque de m'engueuler avec la direction et d'autres profs, quand ces gamins se sentaient soutenus et entendus, tu vois, on m'appelait "pause café". Et ce surnom a été un des plus beaux compliments qu'on m'ait fait.
      J'ai eu la chance de pouvoir discuter dans la cour avec des élèves qui venaient chercher le contact, qui étaient contents de me voir.
      Je suis partie à cause du système, car on n'aime pas ceux qui osent et qui innovent dans l'éducation nationale.
      Après, je ne nie pas qu'il y a des gens biens, dans le système. C'est clair.
      Mais je ne cautionne ni le parent qui veut mettre une beigne, ni le prof qui baffe le gamin, et l'un dans l'autre, j'ai plus vu de profs violents que de parents qui l'étaient, alors je veux bien croire qu'ils sont à égalité par respect pour toi.

      Après, effectivement, le peu de liberté qu'on laisse aux enseignants est regrettable, au niveau pédagogique mais ils se contentent de faire grève sans bousculer ce système. Tu ne vas pas me dire que tu n'as jamais vu un prof garder ses cours d'une année sur l'autre durant des années, sans rien changer d'un iota?
      Ensuite, il me semble que tu as été dans l'enseignement technique, qui est bien meilleur que le général.
      Au sujet de la laïcité, même réponse qu'à Elie Arié.
      Bises et bonne soirée!

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    3. Gérard12/09/2013

      Je ne parlais pas de moi mais des jeunes enseignants qui débutent souvent dans des conditions très difficiles. Il y en a plusieurs dans ma famille très proche et j'en connais au minimum une dizaine ( je n'ai pas compté exactement) qui m'ont rapporté ce que je viens de dire .
      Personnellement , à l'époque où j'ai enseigné ( enseignement général) je n'ai pas eu tous ces comportements ni à me plaindre des élèves et encore moins des parents avec qui je coopérais en toute confiance. Mais "avant c'était avant" ( je suis influencé par la pub comme tout le monde)
      L'époque était plus "cool", la société moins agressive, on n'avait pas encore goûté au perpétuel couplet du "tous pourris" ni à la stigmatisation tous azimuts des fonctionnaires de l'état.
      L'école n'a jamais appris aux enfants à devenir des moutons, elle leur a seulement essayé de leur enseigner à devenir plus intelligents.
      Mais il me semble que dans cette discussion (tranquille) on oublie la forte influence des médias, de la pub, d'Internet, des jeux vidéos et de tous les prétendus spécialistes , des coachs, des lobbies, etc.... Car l'image furtive , l'idée jetable, le kit du prêt à penser est en train de remplacer la créativité, l'imagination et surtout la sensibilité. Si on cherche les coupables à ce délitement ils sont nombreux !
      Quand à la définition de la "morale", chacun y voit ce qui l'arrange car le sujet est vaste ,
      Pour beaucoup sera la distinction du "bien et du mal" et ça passera par la religion , pour d'autres ce sera une éthique de vie (mais laquelle?)
      Si on se conforme à l'explication du Larousse:
      "Ensemble de règles de conduite, considérées comme bonnes de façon absolue ou découlant d'une certaine conception de la vie : Obéir à une morale rigide.
      Science du bien et du mal, théorie des comportements humains, en tant qu'ils sont régis par des principes éthiques."
      on n'est guère avancés.
      Donc pour l'école il lui reste à enseigner la morale républicaine en plus du reste bien entendu. Apprendre pourquoi l'histoire de notre nation qui s'est constituée au cours des siècles a choisi d'inscrire sur tous les édifices publics les 3 valeurs les plus importantes me paraît quand même plus utile que connaître le dernier tube à la mode de Carla Bruni.
      Excuses-moi de "m'imposer" un peu mais tu vois bien que ce sujet me passionne . Bonne journée Rosa

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  6. Elie Arié12/08/2013

    "l' obsession de la laïcité."

    "Obsession"?
    Tout est dit.

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    1. Ben, vous ne croyez pas qu'on a autre chose de plus important à faire, et à l'école et ailleurs? Il y a pas des choses plus graves?
      D'ailleurs, la laïcité est intrinsèque à l'école, alors pourquoi agir comme si elle ne l'était pas?
      Comme dit plus haut, l'école c'est apprendre à lire, écrire et compter, normalement, et accessoirement aider l'élève à savoir réfléchir tout seul.

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    2. Baptiste N.12/08/2013

      J'aurais envie d'ajouter que bien au contraire, il ne faut surtout pas que l’élève pense par lui même, car penser, réfléchir cela reviens a comprendre que l'on n'a pas besoin...

      Furieuse rentrée en matière, mais affectueusement déterminé, toujours.


      P.S : Vous avez enseigné ? Je souhaiterais en savoir plus.

      :)

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    3. Il y a longtemps, j'étais étudiante donc j'ai été intérimaire, à l'époque, cela se faisait notamment pour remplacer. J'ai été pionne aussi.
      Puis je me suis rendue compte que je n'étais pas à l'aise dans le système. J'ai regretté les gamins, j'adorais les gamins.

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