Inceste: le mot est lâché à la une de Libération et dans une discussion du midi à Canal Plus.
C'est à l'occasion du livre de Christine Angot, qui publie une histoire si ordinaire pourtant dans Une semaine en Vacances. Le livre fait polémique, parce qu'il y a du sexe dedans, du sexe violent, parfois insoutenable, la jeune fille du roman est une enfant livrée à un monstre.
Je ne l'ai pas encore lu, mais je le ferai sans doute. Angot est une romancière honnête, ce n'est pas du grand style, mais l'écrivain magnifique et ultime qui écrit un chef-d’œuvre, pour moi, depuis Tournier, en France, je le cherche encore. Question de jugement de valeurs personnelles, je préfère les écrivains étrangers américains, arabes et asiatiques.
Angot est cependant quelqu'un qui est agréable à lire.
Mais on se déchaine contre son livre...Autant que pour Millet, qui lui, selon moi, écrit comme un sombre crétin, avec des idées qui pour le coup, sont franchement dégueulasses. Et qu'on ne vienne pas me dire que la littérature, comme le domaine du comique, tiens, excuse tout. C'est comme Renaud Camus : un torchon illisible avec des idées inacceptables, une double imposture, qui fait presque passer BHL pour un écrivain, c'est dire...
Bref, Angot a raison de faire un livre qui se veut sans concession: parce que l'inceste pratiqué par une personne ayant autorité sur un mineur en état de faiblesse ne peut pas être conté comme une jolie tranche de vie. C'est de la pédophilie aggravée. Point. On n'a pas à censurer des scènes pour faire esthétique.
Il y a quelques années en arrière, je suis tombée par hasard sur un livre qui avait quand même eu le Prix Renaudot et dont l'auteur a un style effectivement très bon, le roman est de bonne facture littérairement parlant.
Cela s'appelle Isabelle ou l'Arrière-Saison, de Jean Freustié: le titre est poétique, c'est clair.
Mais cela s'arrête-là: ce truc est un torchon idéologique malsain. Cela raconte l'histoire d'un type de 45 ans tombant amoureux de sa fille (qu'il ne connait pas(!) l'auteur est bien sûr hypocrite...on est pas à cela prêt), et tout le long la gamine de 15 ans (et pas 17 comme on voit sur les résumés), joue une espèce de séduction dont le brave gars de père est victime...à vomir...puisque l'auteur joue sur la fameuse légende de l'allumeuse...vous savez, celle qu'on nous sort pour justifier le viol...bien sexiste avec ça...
Le père se "guérit" en se tapant la copine du même âge.
Et bien, ce torchon infect ne semble pas avoir traumatisé grand monde à l'époque, si jamais vous vous rappelez d'un quelconque parfum de scandale, faites-moi signe.
Pour dire en conclusion: l'inceste perpétré par un père, un oncle dans le cadre familial sur toute jeune fille ou jeune garçon qui est censé être dans un milieu protecteur, ce n'est pas un beau roman, ni une belle histoire à traiter sur un ton badin littéraire, c'est une saleté de pédophilie qui se déguise, point barre.
La seule erreur de Angot, il me semble, c'est de ne pas avoir tapé plus fort. Le mot inceste nuit au thème du roman et met un voile pudique mal placé qui permet à certains d'être choqués. C'est de la pédophilie sordide et dégoutante, même si la gamine est formée car elle n'est pas responsable du regard salace et tordu qu'un type comme Jean Freustié a posé, en se cachant à travers l'excuse de la littérature. Il faut arrêter de faire de l'inceste un tabou. C'est un acte répréhensible, point barre, qui appartient à l'abus sexuel le plus condamnable.
Liens sur le sujet:
Pédophilie et insultes justifiées par la littérature
L'éphébophilie n'a aucune existence en droit français
C'est à l'occasion du livre de Christine Angot, qui publie une histoire si ordinaire pourtant dans Une semaine en Vacances. Le livre fait polémique, parce qu'il y a du sexe dedans, du sexe violent, parfois insoutenable, la jeune fille du roman est une enfant livrée à un monstre.
Je ne l'ai pas encore lu, mais je le ferai sans doute. Angot est une romancière honnête, ce n'est pas du grand style, mais l'écrivain magnifique et ultime qui écrit un chef-d’œuvre, pour moi, depuis Tournier, en France, je le cherche encore. Question de jugement de valeurs personnelles, je préfère les écrivains étrangers américains, arabes et asiatiques.
Angot est cependant quelqu'un qui est agréable à lire.
Mais on se déchaine contre son livre...Autant que pour Millet, qui lui, selon moi, écrit comme un sombre crétin, avec des idées qui pour le coup, sont franchement dégueulasses. Et qu'on ne vienne pas me dire que la littérature, comme le domaine du comique, tiens, excuse tout. C'est comme Renaud Camus : un torchon illisible avec des idées inacceptables, une double imposture, qui fait presque passer BHL pour un écrivain, c'est dire...
Bref, Angot a raison de faire un livre qui se veut sans concession: parce que l'inceste pratiqué par une personne ayant autorité sur un mineur en état de faiblesse ne peut pas être conté comme une jolie tranche de vie. C'est de la pédophilie aggravée. Point. On n'a pas à censurer des scènes pour faire esthétique.
Il y a quelques années en arrière, je suis tombée par hasard sur un livre qui avait quand même eu le Prix Renaudot et dont l'auteur a un style effectivement très bon, le roman est de bonne facture littérairement parlant.
Cela s'appelle Isabelle ou l'Arrière-Saison, de Jean Freustié: le titre est poétique, c'est clair.
Mais cela s'arrête-là: ce truc est un torchon idéologique malsain. Cela raconte l'histoire d'un type de 45 ans tombant amoureux de sa fille (qu'il ne connait pas(!) l'auteur est bien sûr hypocrite...on est pas à cela prêt), et tout le long la gamine de 15 ans (et pas 17 comme on voit sur les résumés), joue une espèce de séduction dont le brave gars de père est victime...à vomir...puisque l'auteur joue sur la fameuse légende de l'allumeuse...vous savez, celle qu'on nous sort pour justifier le viol...bien sexiste avec ça...
Le père se "guérit" en se tapant la copine du même âge.
Et bien, ce torchon infect ne semble pas avoir traumatisé grand monde à l'époque, si jamais vous vous rappelez d'un quelconque parfum de scandale, faites-moi signe.
Pour dire en conclusion: l'inceste perpétré par un père, un oncle dans le cadre familial sur toute jeune fille ou jeune garçon qui est censé être dans un milieu protecteur, ce n'est pas un beau roman, ni une belle histoire à traiter sur un ton badin littéraire, c'est une saleté de pédophilie qui se déguise, point barre.
La seule erreur de Angot, il me semble, c'est de ne pas avoir tapé plus fort. Le mot inceste nuit au thème du roman et met un voile pudique mal placé qui permet à certains d'être choqués. C'est de la pédophilie sordide et dégoutante, même si la gamine est formée car elle n'est pas responsable du regard salace et tordu qu'un type comme Jean Freustié a posé, en se cachant à travers l'excuse de la littérature. Il faut arrêter de faire de l'inceste un tabou. C'est un acte répréhensible, point barre, qui appartient à l'abus sexuel le plus condamnable.
Liens sur le sujet:
Pédophilie et insultes justifiées par la littérature
L'éphébophilie n'a aucune existence en droit français
J'aime vraiment ce gris et ce bleu pâle !!!
RépondreSupprimerLa feuille avec les gouttes me plait aussi.
J'aurais préféré une image unie pour ce qui est de la bordure du haut mais l'image est bien.
Bravo a toi :)
désolée de ma réponse en retard, je peaufine le look de rentrée
SupprimerBon je ne résiste pas au double post.
RépondreSupprimerTu as changer le bleu pâle en vert turquoise pâle ou ces mes yeux qui dérailles ?
Je viens de voir le changement de devise aussi. Elle est chouette !
Et encore une fois ce n'est que mon avis (jspr que tu en aura des meilleurs) mais l'image et mieux, plus en adéquation et l'on voit moins les césures.
merci:-)
SupprimerBon j'ai honte 3 post, mais finalement c'est bête de le dire parce que je le fais quand même.
RépondreSupprimerMais, je parcours ton blog et a mesure que j'en relis certains passage, et que ce n'est pas le printemps bientôt mais que tu sembles quand même dans une phase de changement, je me dis qu'il serait bien (si possible ou pas) de faire en sorte que les articles puissent être réactualisé par l'ajout de commentaire (enfin je dis ça je dis rien) mais surtout que l'on puisse navigué dans ton blog par mois et année si possibles ...
P.S :
- Je note qu'il y a une barre des derniers commentaires a droite mais enfin, elle me semble trop étroite : 4 commentaires affichés ; pas de véritable projection sur l'article connexe ...
- Tu peux supprimé le double post et le triple .. Parce que cela fait un peu flood ! Mes avis, ne sont que des propositions !
je tiendrai compte des suggestions, pas la peine de supprimer les posts, ne t'inquiète pas
SupprimerL'inceste père-fille est certainement ce qu'il y a de plus dégoûtant. C'est la quintessence de la perversité et de la dépravation, puisqu'il y a risque de fruit dégénéré.
RépondreSupprimerJ'avais entendu dire que la proportion de manœuvres sexuellement répréhensibles dans les familles, tous genres confondus, était impressionnante : mais on n'en découvre qu'une proportion infime. Souvent beaucoup plus tard. Par tâtonnements, on pourrait approcher les 50%.
Ne nous y trompons pas, les mères aussi peuvent parfois n'être pas sans reproche. Qui, déjà, disait "les femmes sont des hommes comme les autres" ?
Ce n'est pas sans raison que l'on parle de "secrets de familles", dont la divulgation est taboue. Et le contenu tas de boue. La transcription romancée de ces pratiques est sans doute une façon de transgresser le tabou. Pour autant, à moins d'avoir de bonnes raisons médico-thérapeutiques, se plonger dans cette sorte de lecture peut être une sorte de voyeurisme.
"puisqu'il y a risque de fruit dégénéré"...euh il me semble que ce n'est pas cela le plus grave, loin de là.
SupprimerIl ne faudrait pas que les hommes aient toujours l'air de ne s'intéresser qu'au "fruit" comme quand il s'agit d'empêcher les femmes de se faire avorter, quand même !
L'inceste pour la petite fille qui est en droit d'attendre protection, éducation et respect de son géniteur et qui en dépend entièrement pour sa survie subit avec l'atteinte à son intégrité par un homme qu'elle aime forcément, dont elle dépend pour sa survie, donc et dont elle va voir toute sa vie les traits sur son propre visage, est un crime dont elle ne se remet quasiment pas. Le "fruit" c'est du pipi de chat à côté !
Euterpe +1 Mais le fils aussi peut faire un enfant à la mère alors fruit dégénéré c'est trop bizarre comme expression comme s'il y avait que l'honneur de la fille vierge en cause.
Supprimer50% d'inceste dans les familles ? Une sur deux alors ? Il ne faut peut-être pas trop exagérer non plus.
Oui sauf que les cas d'inceste mère/fils ne sont pas proportionnels aux cas père/fille déjà parce que les hommes croient toujours et partout que le sexe féminin est là pour son service personnel et dans certains cas que la famille est un libre-service. Tandis que la mère est quand même éduquée à protéger et respecter ses enfants (de plus elle les porte et les allaite ce qui lui donne une autre perception de sa progéniture que monsieur le grand-chef Pied-sous-la-table et (à l'occasion pied-dans-le-plat et main-dans-la-culotte).
SupprimerLes femmes qui enfreignent les lois de la parentalité sont plus rares et très dérangées. Chez les hommes, il y a beaucoup plus de types qui passent pour archi normaux à l'extérieur (comme Yves Montand, Polac, Cohn-Bendit, Polanski etc... par ex. car l'inceste et la pédophilie pourraient avoir la même définition : profiter de la dépendance d'un être trop jeune pour être capable d'appréhender la sexualité et sa signification, afin de se livrer à des actes sexuels sur lui sachant qu'il est dans l'impossibilité de s'y soustraire).
En effet le chiffre de 50 % est pour le moins fantaisiste.
Encore un mot à propos du fameux "fruit" : l'inceste se produit parfois tellement tôt que la fillette est encore un bébé. Donc, désolée, mais il n'est guère question de reproduction, là.
Je vous rejoins totalement sur l'ignominie de la pédophilie.
RépondreSupprimerJe me demande si Angot n'écrit pas de cette manière, un peu comme un journaliste avec le devoir d'objectivité.
Elle raconterait une histoire, sans la juger, afin que l'émotion du lecteur lui soit propre. Pas une émotion par procuration, comme ça aurait été le cas si elle usait de qualificatifs horribles.
Moi j'ai un sentiment mitigé vis-à-vis d'Angot mais je ne cautionne en rien le tollé fait autour de sa personne parce que Houellebecq peut être archi glauque sans qu'une couille de journaliste remue autrement que pour l'encenser mais quand c'est une femme qui décrit des horreurs, là, t'as le Canard enchaîné par exemple que se sent obligé de dénoncer le fait que les écrivaines se servent du sexe pour vendre. Comme si ce n'était pas le cas de Houellebecq et Beigbeder, par ex ! Cela dit Angot est très pote avec ces deux-là, en fait.
RépondreSupprimerPanier de crabes tout ça!
SupprimerBonjour Rosaelle,
RépondreSupprimerQui veut le mieux obtient le pire. Le quadra attiré par l'adolescente de 15-17 ans, ce n'est pas glorieux mais légalement pas de la pédophilie.
Il faut donc se garder d'entretenir une confusion des genres.
Le livre dont vous ne me parlez n'est sans doute pas de la grande littérature, en revanche, son thème peut être un objet littéraire (déjà largement traité dans les contes, par exemple ou encore avec l'Oedipe de Sophocle)...
Bref, n'appelez pas n'importe quoi pédophilie, pathologie mentale identifiée.
Mais on va dire ça comme ça!
SupprimerDites-le donc à l'enseignante qui a abusé d'un gosse de 12 ans! Dites-le donc à la Justice, après tout, 12 ans , c'est pas loin de 15, non?
Un thème en litterature?
L'Oedipe de Sophocle servait à mettre en garde contre ça, bon sang mais renseignez-vous sur les mythes et légendes! J'en ai ras-le-bol des donneurs de leçons ignares!
Et c'est moi qui incarnerait la tentation de la civilisation dégénérée?
Bref, ne justifiez pas un truc aussi abject, comme si vous étiez en osmose idéologique avec, cela me débecte profondément
"Être attiré par" n'est pas le problème c'est estimer que cela justifie de passer à l'acte qui est le problème ! Et passer à l'acte n'est possible que dans un rapport de dépendance de l'adolescent(e) à l'adulte.
Supprimer"Il faut donc se garder d'entretenir une confusion des genres" serait une belle phrase tout à fait adéquate si Mr ou Mme L'hérétique était en mesure de s'exprimer avec plus de précision, ce qui n'est pas le cas.
Et en effet donné des leçons quand on ne sait même pas de quoi en parle est juste stupide.
Ah oui! +1000!!!!
Supprimer@Rosa elle
RépondreSupprimerJe ne vous parle pas de l'enseignante qui a abusé d'un gamin de 12 ans. Je vous dis que votre histoire, là, ce n'est pas de la pédophilie, c'est tout. Et croyez bien que je n'ai aucune forme de complaisance envers les pédophiles. Si cela ne tenait qu'à moi, j'avancerais le montant de la corde pour les pendre...
Quant à l'Oedipe de Sophocle, quand vous aurez fini de raconter n'importe quoi sur le sujet, on pourra commencer à discuter.
@Euterpe
Eh bien votre histoire, là, cela relève du détournement de mineure volontaire et de l'inceste par accident mais pas de la pédophilie, c'est tout. C'est compliqué à comprendre ?
Bien sûr, vous parlez, je n'ai qu'à la fermer!
SupprimerVoyez mon dernier article sur le sujet.
Alors, dites-moi ce qu'est l'Oedipe de Sophocle, expliquez donc...allez-y...
Pas de complaisance envers la pédophilie? Vous osez parler d'inceste par"accident"? Je ne savais pas qu'on fasse cela par accident, à part des frères et soeurs séparés à la naissance...et je ne vois pas ce qu'Euterpe a dit de mal pour justifier votre colère et sortir ça. Oui, vous êtes vague.
Je vous préviens gentiment: au prochain argument d'autorité et manque de respect, votre commentaire ne passera pas. Là, vous n'apportez aucun élément cohérent de discussion.
PS: je suis juste assez intelligente pour remarquer quand on ne maîtrise pas le sujet, vous devriez arrêter de sous-estimer les gens en face de vous.
Renaud Camus un torchon illisible? Certes, il est vrai que Renaud Camus utilise un langage soutenu qui pourrait vous dérouter et vous intimider à l'heure de l'égalité et du divertissement, à fortiori si vous considérez qu'Angot "est cependant quelqu'un qui est agréable à lire"...
RépondreSupprimerJ'ai le droit d'avoir mon avis. MON AVIS. Il n'engage que moi!
SupprimerC'est moi la stalinienne?
Le rythme d'Angot est agréable à lire.Le signifié est d'un très bon rythme.
Quand au signifiant, c'est autre chose.
C'est comme Camus, Albert Camus, il se lit bien mais ce qui est dit n'est pas forcément agréable.
Pour MOI( vous comprenez le MOI? ), l'avantage de Renaud Camus est qu'il permet aux médiocres de se sentir supérieurs, intellectuels...C'est chiant au possible. Et là, je ne parle que du signifié
Je viens de commencer ce roman, que vous m'avez fortement donné envie de lire. Je suis au regret de vous dire que, dès la troisième page, il est écrit noir sur blanc qu'Isabelle a 17 ans, et même qu'elle les avait “l'hiver dernier”. Comme, dix pages plus loin, elle se fait bronzer nue en début de matinée et qu'on entend des cigales, il est probable qu'elle est déjà plus près de 18 que de 17. Par conséquent, votre indignation convenue à propos de je ne sais quelle pédophilie, qui était déjà hors de propos avec une Isabelle de 15 ans, devient parfaitement absurde dans la réalité.
RépondreSupprimerPeut-être cela explique-t-il d'ailleurs que, malgré vos souhaits ardents, le roman de Freustié soit encore en vente libre…
(Comme vous allez caviarder ce commentaire qui vous ridiculise quelque peu, je le reproduit chez moi, à la suite du billet que je vous ai consacré dans un moment de bonté.)
Tiens, on va le mettre, et d'une parce qu'il est curieusement presque dépourvu de toute insulte déguisée ou non.
SupprimerVotre histoire de se faire bronzer nue...
Par contre, ne vous est-il pas venu à l'idée que le roman original, que j'ai lu,l'édition originale,je précise, donnait l'âge de 15 ans et pas 18, et que l'éditeur a changé l'âge pour plus de commodité?
De toute manière, vous n'avez aucune leçon à me donner, vous qui n'avez même pas pu faire un enfant, et qui avez de la complaisance pour ce genre de choses, vous vous êtes précipité sur un bouquin qui parle d'inceste, et franchement vous seriez capable de descendre n'importe quelle parole que je dirais, tellement vous vous ennuyez, tellement vous êtes imbu de vous-même, tellement vous n'écoutez que votre propre réflexion.
Je suis naïve et candide?
Pour vous,une femme qui passe et a un joli physique vous fait baver, qu'importe son âge, son innocence, qu'importe ce qu'elle est: ce n'est qu'un gibier potentiel, on a l'impression.
De la même manière, vous pensez vous être trouvé une "proie" en ma personne pour votre vindicte, afin de vous faire mousser sur mon dos.
Mon pauvre
Alors, vous ne voulez toujours pas me dire tout le mal que vous pensez sur moi en face? Vous avez toujours l'Alzheimer?
Mamie Rosa ne va pas vous bouffer, ni vous mettre au piquet.
J'attends votre réponse.
Si Genève ne vous va pas, il y a un palace à Annecy.J'insiste. Les consommations seront pour moi.
Caramba, encore raté ! Il se trouve que je possède l'édition originale (Table Ronde, 1970) et que l'âge est bel et bien 17 ans.
SupprimerPour le reste, vous allez finir par me gêner : je vous rappelle que je suis un vieux monsieur, marié devant Dieu et les hommes, et de surcroît fidèle…
Et d'une, on n'est pas dans une cour de récré.
SupprimerComme je vous le disais, les éditions, cela se change, et puis je vous ai déjà répondu dessus sur l'article sur l'éphébophilie. Vous connaissez mon blog, vous avez donc lu l'article.
Parce que ça:
"Un peu effrayé, il n'osait plus la regarder. Que veut-elle dire ? S'il renversait le problème et pensait à ce qu'il éprouvait, lui, à l'égard d'Isabelle, il devait constater qu'il l'aimait et la désirait plus encore s'il croyait qu'elle était sa fille.»
Vous trouvez cela normal?
Cela confirme ce que je disais, pour le reste. Moi aussi suis bien fidèle et en plus, votre personne ne me fait pas du tout fantasmer...Réduire une proposition de confrontation directe à ça...ce n'est pas du tout anodin ou badin, c'est plus une explication, pour voir comment vous réagissez si vous n'êtes pas caché derrière votre écran.