Puis, nous allons voir quelques-uns des titres de billets relevés sur Google News:
TF1 : Jean Sarkozy fait la pub de Copé...J'ai cru que comme son frère, il s'était mis au mannequinat...et vantait les mérites d'une boisson quelconque...
Atlantico: La morsure muette contre les classes moyennes et populaires...ça fait froid dans le dos...Nous sommes en plein thriller ou film gore...la morsure muette...brrrrr...
Les plans sociaux font des morts économiques....On est toujours dans le fantastique à la Joël Schumacher....tremblez, braves gens , les morts sont maintenant économiques....
Mairie de Paris: 57% des électeurs satisfaits de troquer Delanoë pour...on se demande quoi, ça gratte, ça démange d'y aller et bien non, j'irai pas. Moi, je ne fais pas encore de troc de maire, j'ai connu les trocs de fringues, les trocs de sel, mais les trocs de maires...trop louche...
Le Point: le Hollandomètre....Bon, on a eu le Sarkotron, le Sarkophage, le Sarkophile, la Sarkoïdose, pourquoi pas un hollandomètre, après tout, ce n'est pas le plus ridicule des titres...
Nokia veut se réinventer un avenir : ok mais 01.net nous dit le contraire, que Nokia lutte pour sa survie...
Et il n'est pas le seul...
Non, non...Il y a aussi Hadopi, selon le Figaro, qui se sent en danger de mort et qui se débat, ainsi que le bourreau avant l'abolition de la peine de mort...On est mal, là, très mal...
Et là, on peut dire qu'après une journée de boulot, la rentrée des classes, bref, bien lessivée, je n'ai pas regardé un seul des articles dont j'ai cité le titre, à part celui du Figaro...pour relever un tel niveau dans les exemples, j'aurais mieux fait de m'abstenir...
D'un autre côté, tu cites trois médias notoirement à droite.
RépondreSupprimerc'est ceux-là qui étaient sur mon google news...j'ai vraiment pris les exemples les plus gros...je te jure que vu mon état avancé de fatigue, j'ai pas capté...
SupprimerMalgré ce constat et l’atténuation - voir l'irresponsabilité - imputable a la fatigue de ce grand jour de rentrée, j'ai envie de dire :
RépondreSupprimer"A gauche, a droite, au diable " ^^
Je reprendrais volontiers Denis : "[...] Le bien ? Le mal ? C'est d'époque ! ;+)"
Les journaux de gauche aussi ont leurs dérives mégalos.
Mais il est vrai que la droite, a la marotte tenace. Peut être liée à l'habitude de voir des gens de droite gouvernés, peut être.
J'en resterais à l'idée première qui consiste a penser que faute d'avoir vu (voulu voir) le mal (via le dernier quinquennat et peut être même avant), ils se trouvent les fesses (entendons-nous bien) entre deux chaises, partager entre odynophagie et phagophobie.
Oui, je comprends ce que tu veux dire: chat échaudé craint l'eau froide, en fait.
SupprimerUn truc du style oui :)
SupprimerLe goux moisi se fiche encore de vous à travers vos commentateurs. Il n'a qu'une petite culture et si peu de vocabulaire. On a envie de lui dire de laisser tomber, ce sont des termes médicaux, il faut s'y connaître un minimum ou avoir la curiosité d'ouvrir un dictionnaire, ce qui n'est pas son cas.
RépondreSupprimerDe toute façon, ses insultes sont lassantes à force, mais comme il ne peut pas argumenter, il fait dans le moisi, signe qu'il n'a en fait pas grand chose à dire.
SupprimerIl ferait bien de faire gaffe, car celui qu'il cible fera partie des décideurs de demain, ceux qui seront actifs quand il sera dans sa maison de retraite
La presse en lutte pour sa survie.... mais, à la réflexion, ce titre est-il adéquat ? La presse est morte, enterrée, par ceux-là mêmes qui, pour la contrôler, l'ont achetée. A partir de là, et même si en façade ils disent ne rien changer à la ligne éditoriale, leur seul nom dans l'organigramme change la façon dont les directeurs de la publication voient leur rôle. Il est facile, ensuite, de s'arranger pour écarter un journaliste trop honnête et brillant à la fois, quitte à l'inciter à partir de lui-même.
RépondreSupprimerLe public l'a bien compris, qui boude les quotidiens, quitte à être plus penché sur les hebdomadaires, voire les mensuels.
C'était par rapport aux deux unes du Figaro et de 01.net, un jeu de mots, en fait.
SupprimerDe toute façon, oui, cela fait longtemps que je n'achète plus de journaux.
Pour l'histoire des magnats de la presse, il suffirait de contrôler plus les lignes éditoriales par une autorité indépendante mais la déontologie coercitive est-elle une censure? Il me semble, oui. pas évident, à moins que, effectivement, la presse finisse par réellement mourir
... contrôler plus les lignes éditoriales ? Obliger les rédactions à rendre compte objectivement de tel ou tel fait ? car le problème ne vient pas tant des interprétations, souvent, que des omissions.
SupprimerC'est d'ailleurs là où la blogosphère prend le relai, en révélant grâce à des incursions multiples sur d'autres supports étrangers des faits "oubliés", ou franchement travestis.