Il y en a des sujets, à traiter, oui, en ce moment, ce n'est pas les idées de billet qui manquent.
Je vais commencer par faire un mea-culpa : hier, j'étais passablement énervée, sur le sujet des régions.
En fait, je n'avale pas l'histoire de rattacher l'Auvergne à Rhônes-Alpes, car ayant vécu dans les deux, je peux vous garantir que l'histoire et la culture y sont différentes et que ces deux régions n'ont rien à faire ensemble, en fait. C'est un boulet que Rhônes-Alpes traine, l'Auvergne, depuis Giscard.
A tête reposée, c'est moins grave que ça en a l'air.
Naturellement, les régions frontalières de la Suisse sont en train de fusionner par des liens économiques, et sociaux, comme tout naturellement, la Côte d'Azur est en train de se tourner vers Lyon, via Montélimar et sa zone provençale.
En fait, en retraçant la France ainsi, dans ce découpage, cela ne va pas changer grand chose, mais tout ce que cela va faire, c'est rapprocher la Bourgogne d'une super-région économique du grand Sud Est, qui est déjà en train de se faire, nouveau découpage administratif ou pas.
Je vais vous donner un exemple concret: l'horlogerie en Franche-Comté recommence à se développer, via la proximité aussi avec la Suisse, j'en ai déjà parlé, qui dit horlogerie dit micro-mécanique et bien, tout ceci est dynamique et participe d'une croissance transfrontalière, trans-régionale.
Un autre exemple: le Charolais court sur plusieurs régions. Un autre: le Jura . Une autre: la Bresse.
Nous sommes obligés en terme de zone d'influence économique de voir la création de cette supra-région, de Belfort à Monaco, qui touche aussi la frontière italienne et les échanges qui s'ensuivent.
Lyon en sera la capitale, Dijon échappera à l'attraction parisienne, de ce fait.
L'Auvergne inféodée à la Région Rhônes-Alpes, ainsi que la Côte d'Azur, la Bourgogne va s'y retrouver également.
En fait, que vive la réforme!
Ou que vive rien du tout.
Attendons donc de voir.
Je vais commencer par faire un mea-culpa : hier, j'étais passablement énervée, sur le sujet des régions.
En fait, je n'avale pas l'histoire de rattacher l'Auvergne à Rhônes-Alpes, car ayant vécu dans les deux, je peux vous garantir que l'histoire et la culture y sont différentes et que ces deux régions n'ont rien à faire ensemble, en fait. C'est un boulet que Rhônes-Alpes traine, l'Auvergne, depuis Giscard.
A tête reposée, c'est moins grave que ça en a l'air.
Naturellement, les régions frontalières de la Suisse sont en train de fusionner par des liens économiques, et sociaux, comme tout naturellement, la Côte d'Azur est en train de se tourner vers Lyon, via Montélimar et sa zone provençale.
En fait, en retraçant la France ainsi, dans ce découpage, cela ne va pas changer grand chose, mais tout ce que cela va faire, c'est rapprocher la Bourgogne d'une super-région économique du grand Sud Est, qui est déjà en train de se faire, nouveau découpage administratif ou pas.
Je vais vous donner un exemple concret: l'horlogerie en Franche-Comté recommence à se développer, via la proximité aussi avec la Suisse, j'en ai déjà parlé, qui dit horlogerie dit micro-mécanique et bien, tout ceci est dynamique et participe d'une croissance transfrontalière, trans-régionale.
Un autre exemple: le Charolais court sur plusieurs régions. Un autre: le Jura . Une autre: la Bresse.
Nous sommes obligés en terme de zone d'influence économique de voir la création de cette supra-région, de Belfort à Monaco, qui touche aussi la frontière italienne et les échanges qui s'ensuivent.
Lyon en sera la capitale, Dijon échappera à l'attraction parisienne, de ce fait.
L'Auvergne inféodée à la Région Rhônes-Alpes, ainsi que la Côte d'Azur, la Bourgogne va s'y retrouver également.
En fait, que vive la réforme!
Ou que vive rien du tout.
Attendons donc de voir.
En revanche, plus à l'ouest, la grogne grandit. Pas chez les présidents de régions, mais sur le terrain. Les Bretons seront à nouveaux fous de rage de voir à nouveau la Loir Atlantique leur échapper contre toute logique. Le regroupement PC-Centre-Limousin est une belle aberration géographique. Je rappelle que les picto-charentais demandaient à fusionner avec l'Aquitaine. Etc.... Les contents ne seront pas nombreux.
RépondreSupprimerBon, j'ai pris les billets dans l'ordre, mais j'aurais du lire celui ci avant le premier. Je retire donc le qualificatif "irréfléchi".
RépondreSupprimerMais je maintiens le reste.
Les bretons voudraient s'attacher la Loire atlantique, dit un commentaire , mais je ne suis pas sûr que la Loire atlantique veuille être rattachée à la Bretagne (litote). Et si cela se faisait, j'imagine la tête des Rennais si le siège de la nouvelle région était Nantes et pas Rennes.
Il y a un net mouvement pro-Breton en Loire-Atlantique, précisément.
SupprimerSeul bémol, si on demande son avis à un Nantais, la seule chose qui l'intéresse souvent, c'est d'être Nantais, et de le rester. Pourtant, le château des ducs de Bretagne est bien à Nantes.
De même que autrefois les Guilhem, ducs d'Aquitaine et comtes du Poitou, préféraient la plupart du temps Poitiers (courent même des histoires un peu lestes à ce propos).
non moi pas Nantais pur souche m de la région Nantaise 30 KM et suis pour le rattachement.Depuis que la LA a été retirer de la Bretagne, la Loire Atlantique est bâtarde. Pour l'armée et justice c'etait a Rennes le commandement, Faire les classe c'était a Gingant etc etc Depuis ça changer. M récemment La ligne TGV c Paris Rennes et ensuite il y aura liaison. Le futur aéroport si il se fait NDDL, c la Loire atlantique et Bretagne qui finance. Entre Bretagne et loire atlantique bcp de point commun. M depuis separation bcp de lien fait avec les autres département d'ou le nom Pays De Loire. Pas facile.
SupprimerOui a l'ouest la grogne grandit. M faire déclaration irréfléchie, le bateau navigue sans pilote et sans équipage !! A 20: 00 on montre une carte, a 21: 00 c une autre. C du n'importe quoi. En plus quel économie vas t'on faire, personne est capable de le dire.
RépondreSupprimerFH c son quinquennat qu'il joue, m c raté, a revoir copie.
Tout es comme ça quel gâchis pour cette gauche quel gâchis, des déçus ils y en a voir pour preuve et résultat.