La France est condamnée pour ne pas inscrire comme Français des enfants de mères porteuses nés à l'étranger.
Voilà un gros tabou et une belle inégalité dans la société française.
Voilà un gros tabou et une belle inégalité dans la société française.
On tient pour acquis la procréation assistée de la PMA, jusqu'à vouloir la donner en accès facilité aux Lesbiennes.
Mais la gestation pour autrui est toujours une polémique qui n' en finit pas, sous prétexte de protection de la femme, cette chose fragile qui est toujours en état de minorité factuelle, que ce soit pour les machistes et les féministes activistes qui se posent en protectrices des autres femmes...
Et en plus, il y a toujours ce sexisme latent du refus de la GPA qui pénalise aussi les couples homosexuels masculins.
En plus dans l'affaire, les couples hétérosexuels qui ne peuvent avoir des enfants que par cette technique médicale, on s' en fiche complètement.
Entendons-nous bien : Je ne suis pas concernée par ça, c'est vrai.
Mais je commence vraiment à en avoir ras le bol de ce sexisme contre les hommes parce-que, au fond, cela dessert l' égalité en droit et est en train, en plus, de fabriquer des générations de gamines assistées. Parce-que forcément plus faibles, soit disant discriminées par le patriarcat ambiant, qu' on favorise dans l'éducation nationale, entre autres.
Et pour finalement voir que les garçons réussissent mieux en général dans la vie professionnelle...
Quand est-ce qu' on se rendra compte de cette aberration?
Une femme n' est pas une créature fragile et ne l'a jamais été.
Le problème de la GPA est celui de la commercialisation du corps humain.
RépondreSupprimerEt alors ? Si on est pour l'égalité, on est pour la GPA
SupprimerLes lesbiennes, si elles sont fécondes, n'ont nullement besoin de PMA : il leur suffit de se trouver un mâle et d'écarter les cuisses devant lui. On me dira : « Ah, oui, mais c'est trop injuste, trop dur, vu qu'elles n'aiment pas ça ! » Je répondrai : Et alors ? D'abord, un coup de goumi, ça dure dix minutes, ce n'est tout de même pas une hospitalisation d'une semaine ! Elles vont passer un moment peu agréable pour elle ? Là encore : et alors ? Est-ce que c'est agréable de se faire percer les oreilles, les narines ou les mamelons ? Est-ce que c'est agréable de se faire tatouer ? C'est agréable de se taper dix heures d'autoroute pour avoir le droit de s'allonger sur une plage ? Non, n'est-ce pas ? Ça n'empêche pourtant pas ces connasses de le faire, simplement parce que ce qui compte, à ce moment-là, c'est le résultat !
RépondreSupprimerDonc, pour me résumer : que les lesbiennes en mal de chiards se fassent sauter et qu'elles cessent de nous courir sur la grosse veine bleue.
Ça c'est toujours fait; mais je vous signale que ça ne marche pas toujours du premier "coup" .
SupprimerSans avoir besoin "de se faire sauter", les lesbiennes américaines des années 70 arrivaient parfaitement à enfanté en toute sécurité...
SupprimerAvec une pipette...
Pour une raison qui m'échappe, le lien Répondre ne fonctionne ni avec Chrome, ni avec Safari, ni avec Firefox !
RépondreSupprimerJe réponds donc à Élie Arié ici :
Je me demande si c'est aussi simple. Nous acceptons bien déjà une certaine marchandisation du corps humain. Et les opposants à la GPA n'envisagent même pas qu'elle puisse être un acte gratuit, comme cla s'est déjà produit.
Seule la GPA gratuite est autorisée en Grande-Bretagne , mais il n'y en a vraiment pas des masses.
SupprimerD'autre part, cela ferait une marchandisation de plus du corps humain, ce que la plupart des pays cherchent à éviter en matière médicale; le don du sang est payant presque partout en Occident sauf en France, mais la vente d'organes pour transplantation y est interdite (contrairement à ce qui se passe en Inde).
Je suis bien d'accord : la chose est complexe. Et puis, même si la GPA est accomplie gratuitement, il faut envisager le pire : par exemple des ennuis graves de grossesse, par exemple des frais pas du tout prévus (qui paie, alors ?).
SupprimerOn notera aussi que, avec le temps, n'en déplaise à son ego, c'est le mâle qui devient de moins en moins fertile. La proportion de jeunes hommes incapables de procréer grandit. Si la GPA est source de polémique, la PMA avec donneur externe va devenir plus nécessaire.
ceci dit, effectivement la GPA est interdite et non reconnue en France. Je ne vois pas qui pourrait condamner notre pays, dont la législation actuelle la refuse. C'est un débat de société, qui ne se pose pas de la même façon dans les pays du nord et du sud. Sans doute est-ce l'une des très nombreuses raisons pour quitter l'union européenne, cette aberration des financiers (et des politiciens étatsuniens).
J'ajoute un détail juridique qui a son importance. Pour la naissance en France prédomine le droit du sol, mâtiné de droit du sang. Comment un enfant né hors de France (y compris ambassades et consulats) de mère non française peut-il prétendre à la nationalité française ? Même si ceux qui se disent ses parents ont bien, eux, le passeport français, à quel titre pourraient-ils assurer que cet enfant né de l'accouchement d'une autre, quelque part ailleurs, est bien le leur ? Même si l'ADN permet de présumer de l'identité du matériel génétique masculin, le fait que cela se soit produit à l'extérieur de la nation enlève toute force à l'argument.
SupprimerJe vous signale que c'est un problème qui se pose pour tous les documents d'identité, à tout âge : quand vus vous présentez à la préfecture de police pour vous faire établir une carte d'identité, avec tous les documents qu'il faut (acte de naissance, livret de famille de vous parents, etc.), qui dit que le type dont parlent ces documents, c'est bien vous, et que vous ne les avez pas piqués à quelqu'un d'autre, ou qu'il ne vous les a pas prêtés ?
SupprimerJe ne comprends pas que des gens puissent être satisfait de louer un utérus et d'acheter un enfant...
RépondreSupprimerLe but de GPA et de la PMA c'est de soigner une maladie (l'infécondité) par de répondre au désidérata d'une ultra minorité.
le but dépasse le moyen.
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